je suis confronté à un ado de 12 ans, qui va pas bien en ce moment, qui fait tout pour atttiré l'attention sur lui, et lors d'une discussion entre lui, ma collègue et moi, au sujet de son comportement, il nous à fais comprendre qu'il allait mal et quil avait ennvi de mourir, et de suicider...

Comme je lui ai dit que notre discution était confidentiel, est il de mon devior d'en parler à ses parents, ou de faire une soirée théâtre forum autour du suicide?

et comment réagir à cette situation?

mrci

Perso moi j'aviserai les parents. Même si c'est confidentiel, vaut mieux éviter la catastrophe.

C'est dans notre role que d'assurer la santé morale, et affective de l'enfant.

Par rapport a ça y a des points d'interrogation que je me pose. Quel discours utiliser, quel attitude prendre.

En juillet à la colo (décidément, pour ceux qui suivent), une pré-ado ne pensait qu'à ça. Mais on a vite senti que c'était un jeu pour elle que d'en parler avec toute la gravité que ça représente.

Donc notre attitude à été de le prendre à la "rigolade" et de lui dire avec insistation que c'est pas des propos à dire.

Bonjour,

Pour ma part, je ne laisserai pas ce gamin avec des idées noires comme ça.

Il y'a de nombreux facteurs qui peuvent jouer et pour avoir suivi une émission à ce sujet avant l'été sur le suicide des ados, je peux affirmer que certains le font pour de bon.

Cet enfant qui ressent ce mal être doit être réconforté et discuter avec lui (tout en réspectant son silence, s'il ne veut pas en parler, ce n'est pas facile, mais avec le temps, on y arrive).

Peut-être a-t'il de graves problèmes familiaux au sein de sa famille (maltraitance, conflit des parents= divorce, parents vivant dans un milieu difficile= chomage et ne pouvant élever correctement leur progéniture, enfant en échec scolaire...).

Ce n'est qu'un aperçu des facteurs de risques suicidaires.

En tout cas, il ne faut prendre ces déclarations à la légère et il faut l'aider du mieux possible ! :busted_blue:

Modifié 8 août 2006%d a par Rémy

Personnellement, j'ai déjà été confrontée à une adolescente qui a tenté de se suicider, mais je n'étais pas animatrice à cette époque, tout simplement colon tout comme elle.

Je l'ai rattrapée de justesse un soir alors qu'elle tentait de sauter par la fenêtre (pas haute mais quand même)

J'ai beaucoup discuté avec elle, et elle voulait que notre discussion reste confidentielle, je n'en ai pas parlé aux animateurs mais directement au directeur que je connaissais.

Elle l'a appris par la suite, je lui ai donc expliqué que je lui en avais parlé car il m'avait demandé ce qui s'était passé ce soir là mais qu'elle pouvait tout à fait lui faire confiance et aller lui parler si elle avait besoin

Ses parents n'ont pas été mis au courant et le fait d'avoir beaucoup discuté avec elle lui a fait passé l'envie de mettre fin à ses jours.

Le plus important dans ces histoires, c'est la CONFIANCE et la COMMUNICATION.

Pour moi, ça a été une "bonne" expérience, autant en tant que jeune, mais aussi pour mon travail maintenant en tant qu'animatrice, je penses qu'il est vraiment important pour ces jeunes, d'avoir quelqu'un sur qui compter, sur qui s'appuyer, une oreille attentive, nous sommes aussi là pour ça :D

Et puis si on arrive à leur faire passer cette envie et que tout rentre dans l'ordre, c'est une grande victoire :D

Je pense quand même que le plus important, c'est d'être à l'écoute du jeune sans le survaloriser par rapport aux autres. Si c'est un comédien qui ne fait que pour attirer l'attention, ca se repère assez vite. Mais la plupart du temps, il y a un réel malaise derrière des phrases lancées sur le cout de la colère, de la contrariété ou de la peine.

Sur un sejour d'hiver, lors d'une sortie ski de fond, un enfant qui n'allait pas très bien depuis le début de la colo a fait une chute bénine. Et ben malgré ses 12 ans, il s'est mis à pleurer et sortir tout ce qu'il avait sur le coeur, comme quoi il pourrissait la vie de tout le monde, qu'il méritait pas de vivre, etc.

On a donc éloigné et occupé le groupe et un anim est resté avec lui pour l'écouter, le rassurer (attention quand même, on est pas des psys)

La suite du séjour s'est un peu mieux passé pour lui mais il allait vraiment pas bien et il avait besoin d'une oreille attentive.

Et je rajouterais qu'il ne faut pas prendre un appel à l'aide à la légère car quand il y a une TS sur le centre, c'est peu être assez délicat.

Il ne faut jamais me semble-t-il prendre à la "rigolade" des propos d'adolescent parlant de suicide. Rien que le fait de verbaliser une envie d'en finir avec la vie est en soi un appel au secours... Il est de notre devoir d'intervenir, de remonter l'info à des personnes compétentes, capable de gérer au mieux ces maux (assistante sociale, psychologue scolaire...)

Et puis surtout a ne pas oublier, le 119 qui peut rendre bien des services je l'ai bien vu cet été sur des attouchement entres enfants de 7 ans :blushing:

coucou alor moi jétè un fille kom lui avan,kan jai di a ma psy ske je penC dla vi et ske je voulai fair jai été deu semaine a losto pour déprésson et idé suicidair!on va dir kaprè etr sorti jalai bien la vie étai belle

et la je replonge je trouv cette vi tro compliké ...bref

de toute facon kvou le dizié a C parent ou pa sa finira pareil il le fra un jour ou lotr comm moi !!!!

a+

et bonne chans

prenné la bonne désision