Rémy

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Messages posté(e)s par Rémy


  1. Pour les aides financières et afin d'être le plus complet possible, voici ci-dessous, les démarches à suivre selon Jeunesse et Sports :

    Aides au financement de la formation

    Dans le cadre du programme gouvernemental de lutte contre les exclusions, le ministère des Sports a obtenu un financement dont l'objet est de faciliter et démocratiser l'accès des plus défavorisés au B.A.F.A.

    Cette aide sera déduite directement du prix de la formation.

    Les publics prioritaires éligibles aux aides BAFA et BAFD sont les lycéens boursiers, les étudiants boursiers, les demandeurs d'emploi non indemnisés, les bénéficiaires du revenu minimum d'insertion.

    Le montant de la bourse accordée pourra atteindre 305€ pour l'ensemble de la formation.

    Pour plus d'informations, contactez votre direction départementale de la Jeunesse et des Sports.

    D'autre part, certaines structures attribuent des aides financières aux candidats BAFA, sous certaines conditions mais pas systématiquement dans tous les départements (DDJS, CAF, Conseil régional, certains Comité d'entreprise pour les enfants de leur personnel ou organisateurs de CVL, certaines ANPE pour les candidats en situation de recherche d'emploi, autres, …).

    La provenance des aides variant d'un département à l'autre, il convient donc de se renseigner auprès de la DDJS de son département de résidence pour connaître les possibilités existantes sur le département.


  2. Dix-sept condamnés du procès de pédophilie d'Angers font appel

    C'est un droit des condamnés de faire appel d'un jugement, cela ne veut pas dire pour autant qu'ils vont être acquités ou que leur peine va être diminuée.

    Cela peut très bien se retourner contre eux et voir leur peine aggravée en appel.

    Un des accusés, jugé coupable, a été dispensé de peine et trois autres ont été acquittés.

    Es-tu sûr que cette personne a été jugée coupable ?

    Dans ce cas, cela m'étonnerait qu'elle ait été acquitée par le tribunal.

    Peut-être, n'y avait-il pas suffisamment de preuves contre elle et les jurés ont décidés de la mettre hors de cause au bénéfice du doute.

    Ils n'ont simplement pas voulu commettre une injustice.

    Ceci dit je comprends tes arguments mais je pense qu'il ne faut pas avoir de pitié pour des gens qui tuent ou violent des enfants voire des nourissons.

    Il ne s'agit pas de pitié, d'ailleurs en ce qui me concerne, je n'en ais pas vis à vis de ces criminels, mais simplement, je pense que la punition est beaucoup plus sévère et dissuasive de passer plus de la moitié de sa vie en prison, ce qui permet à ces gens de se remettre en question et de se réinsérer petit à petit dans la socièté, alors que la peine de mort ne prévoit aucune issue après la sentence.


  3. Pour revenir au sujet de départ, la différence entre les sexes concernant un poste spécifique est normalement illégal !

    Il s'agit de "discrimination"

    Article 16-13

    (Loi nº 2002-303 du 4 mars 2002 art. 4 I Journal Officiel du 5 mars 2002)

    (Loi nº 2004-800 du 6 août 2004 art. 4 I Journal Officiel du 7 août 2004)

    Nul ne peut faire l'objet de discriminations en raison de ses caractéristiques génétiques.

    Donc, aucun soupçons ne doivent peser avant l'embauche sur d'éventuelles tendances pédophiles.


  4. Il faut arrêter avec ces réactions de priver qui que ce soit et quel que soit son crime de la vie, la convention des droits de l'homme existe pour chaque citoyen !

    D'autre part, si la peine de mort existait encore dans notre pays, la personne jugée et condamnée, ne faisant plus partie de la socièté, ne pourrait plus prétendre à une réinsertion et à un suivi éducatif en milieu pénitentiaire.

    L'affaire serait classée "close".

    De plus, après avoir purgée sa peine, la famille de la victime a encore le pouvoir de faire appel de la décision éventuelle de libération conditionnelle, pour éviter que leur "bourreau" sorte de prison.

    Le temps de la guillotine est bel et bien fini depuis l'affaire Rennucci et le procés de Patrick Henry, je vous conseille de lire "Le Pull over Rouge" qui retrace cette affaire.


  5. Sauf, que pour pouvoir bénéficier d'un financement de la CAF, il faut avoir au moins 26 ans.

    Autrement, pour les moins de 26 ans, ils existent des bourses et d'autres aides financières (renseignement DDJS) qui peuvent vous aiguiller sur les meilleurs possibilités.

    Selon, vos revenus, vous pouvez bénéficier d'une aide partielle ou totale prise en charge par Jeunesse et Sports ou les ASSEDIC.


  6. Je trouve néanmoins surprenant qu'on puisse parler "d'd'équivalence BAFD", concernant les diplômes comme le BEATEP, BPJEPS...Qui sont des diplômes professionnels, contrairement aux titulaires du BAFA, BAFD qui ne permettent pas de se construire une carrière dans l'animation, selon la réglementation.

    C'est le mot "équivalence" qui m'ennuie, on ne peut pas faire une comparaison entre un BAFD et un BEATEP, par exemple.

    Par expérience, les BAFD ne peuvent prétendre, en périscolaire, qu'a des postes d'adjoint à responsabilité réduite.


  7. on peut etre pas d'accord avec la loi sans pour autant aller dans la jungle.

    n'a t on pas le droit de contester les lois de notre pays, pour toi si on est pas d'accord avec les décisions de notre gouvernement il faut s'éxiler.

    Entre ne pas être d'accord avec les lois et se faire justice soi même, il y'a une grande différence !

    Si un enfant vient te voir, pour te dire qu'il vient d'être frappé, est-ce que tu vas lui dire, "eh, bien, va lui rendre ce qu'il t'a fait et frappe le à ton tour" ou est-ce que tu vas attraper l'enfant qui a frappé pour le gronder et le punir, moi, je pencherai plutôt pour la seconde solution.

    Maintenant, c'est à vous de voir, mais en ce qui me concerne, même si j'estime que la loi n'est pas assez sévère envers les criminels, je n'irai pas me faire justice moi même et risquer des années de prisons, pour des individus qui n'en valent pas la peine.


  8. Ah, vous m'apprenez quelquechose, je ne savais pas que le mercryl était interdit... :blink: Vous savez pourquoi ?

    Non, ce n'est pas interdit, mais déconseillé par les pharmaciens pour soigner efficacement les plaies !


  9. ben justement le problème c'est qu'ils ne prennent que très rarement la prison à perpetuité.

    Selon la loi Française, la réclusion criminelle à perpétuité est limitée à 30 ans, avec une peine de sureté pour éviter une sortie précipité d'un criminel avec le jeu des remises de peines.

    En général pour ce genre d'individu, cela représente en général les deux tiers, donc 20 ans assuré.

    Après, c'est au juge de l'application des peines de trancher pour savoir si la personne incrimminée, ne représente plus de danger pour la socièté et si elle peut être libérée sous contrôle judiciaire.


  10. vous me semblez bien catégorique...

    Comment réagiriez vous si on vous appreniez que votre fille ou votre fils a été violé par un de ces malades?

    Bien entendu, il faut se mettre à la place des parents qui vont mettre de nombreuses années pour que la plaie se referme après la perte de leur enfant !

    Mais, s'ils savent, que le criminel a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, je pense que c'est déjà une victoire pour eux. "Justice a été rendue";

    Ils connaissent la loi et le fait qu'ils ne pourront pas prétendre à la peine de mort de leur bourreau, puisque cela ne fait plus partie du code pénal depuis 1981.

    Quant à se faire justice soit même, c'est réprimé par la loi également et c'est eux du coup qui vont se retrouver derrière les barreaux.

    Même, si la tentation est grande après la perte d'un être cher, il faut réfléchir aux conséquences de ces actes


  11. Le sage Jérôme a parlé ! :diplome: :D

    En effet, c'est justement ce genre de réactions que j'attendais en lançant ce message, ce qu'il n'y a pas dans les émissions que j'ai cité plus haut !

    Je le répéte, je n'ai jamais été pour la peine de mort, mais je posais la question: "Faut-il rétablir la peine de mort ?"

    La réponse que je peux donner, aujourd'hui, c'est NON !

    Les arguments ont été très bien formulés par Jérôme, "on ne rend pas la socièté meilleure en punissant les criminels par un autre crime".

    C'est d'ailleurs ce que l'on apprend aux enfants, de ne pas se faire vengeance soit même.

    Maintenant, je ne suis pas persuadé que la prison soigne et rende les gens meilleurs.

    Néanmoins, c'est la seule solution pour que des fous dangereux, ne soient plus en contact avec le monde extérieur et qu'ils ne fassent pas d'autres victimes !

    Mais à leur sortie de prison, combien récidivent ?


  12. Je confirme que le Mercryl est vivement déconseillé pour désinfecter des plaies chez l'enfant, il est recommandé d'utiliser comme désinfectant du Chlorhexidine

    pour les enfants de plus de 30 mois.

    Pour ma part, j'utilise également de l'anti spray antiseptique, qui ne présente aucun effets secondaires et qui ne pique pas.

    Voir le contenu type d'une trousse de secours en cliquant ici


  13. Je rappelle néanmoins que la peine de mort, existait en France dans les années 70 et que c'est Robert BADINTER, avocat de Patrick HENRY (autre tueur d'enfants), à l'époque qui a plaidé sa cause et qui lui a sauvé la vie.

    La peine de mort a été abolli, à partir de ce moment.

    Mea culpa pour Badinter Remy, je copierai 100 fois "je dois verifier mes sources avant de dire une connerie"

    C'est après avoir plaidé la cause de Patrick Henry, comme je l'ai dis, alors que Robert Badinter était avocat, mais il est devenu Garde des Sceaux (Ministre de la Justice) en 1981, sous la Présidence de Miterrand et c'est à partir de ce moment là, qu'il a proposé un projet de loi contre l'abolition de la peine de mort qui a été adopté par les députés.

    Voici l'histoire pour ceux que ça intéressent :

    Symbole du mouvement abolitionniste dans le monde entier, Robert Badinter inscrit dans la constitution française la fin de la peine de mort en 1981. Histoire d’un long combat.

    17 septembre 1981. « La parole est à Monsieur le garde des Sceaux, ministre de la justice. » L’hémicycle retient son souffle. Les yeux rivés sur la tribune, Robert Badinter s’avance. A la main, les notes de son discours. L’homme ne tremble pas. Refuse les effets de manche. Les mots suffiront. Il en a l’intime conviction. Ce sera sa dernière plaidoirie. La dernière d’une longue série commencée en 1972. Retour en arrière.

    Dans le froid et le brouillard de ce mois de novembre, le verdict est tombé, implacable et réclamé par l’opinion publique : la mort pour Buffet et Bontems. La mort pour les preneurs d’otages, pour les assassins. La foule exulte. Pour Robert Badinter, l’un de leurs avocats, c’est la consternation. Comment peut-on se réjouir de la mort de ses semblables ?

    A 44 ans, ce fils d’immigrés russes vient de trouver sa cause. Il se plonge dans les rapports sur la peine de mort, et milite dans des associations, participe à des congrès. Très vite, il devient une voix. Le porte-parole du mouvement abolitionniste. L’avocat est charismatique, passe bien à la télévision, enchaîne les passages radio. Mais il ne convainc pas. Ni les politiques, ni l’opinion publique ne sont prêts à entendre son credo : distinguer justice et loi du talion. Indifférence totale. Plus de 65 % des Français continuent de croire la peine de mort indispensable.

    En 1976, alors que Christian Ranucci vient d’être guillotiné pour le meurtre d’une fillette dont il se disait innocent, Robert Badinter entend parler de Patrick Henry. Ce jeune homme de 22 ans a enlevé et tué un gamin, Philippe Bertrand. Il accepte l’affaire. La France, elle, est sous le choc. « Elle a peur », lâche Roger Gicquel, le présentateur du journal télévisé. Des familles entières vibrent à la douleur des parents du petit Philippe. On réclame une justice exemplaire. La mort, bien sûr. Il n’y a qu’elle qui peut réparer le meurtre d’un enfant. Robert Badinter est convaincu du contraire. Il le dit et le redit. Dans la rue, devant les médias, aux familles des victimes : la mort ne soigne pas, ne libère pas. L’affaire le hante. Ce procès ne sera pas celui d’un paumé, d’un irresponsable, mais celui de la peine de mort. Une première en France. A la barre, il convoque des experts en criminologie. Tous sont formels : « La peine de mort ne dissuade pas les criminels. » Plus tard, l’abbé Clavier, aumônier de la prison de la Santé, explique qu’« on ne répond pas à l’horreur par l’horreur. Il faut savoir pardonner. » Puis vient l’instant de l’ultime plaidoyer. Robert Badinter cherche le regard des jurés, les fixe un à un et déclare : « Si vous votez la mort, vous resterez seuls avec votre verdict, pour toujours. Et vos enfants sauront que vous avez condamné un jour un jeune homme, et vous verrez leur regard.» Il a touché juste. La sentence tombe : réclusion à perpétuité. Désormais rien ne sera plus jamais comme avant. Dans l’histoire de l’abolition la sentence est décisive. Pour le crime le plus abominable qui soit, des hommes et des femmes, des jurés ont pu comprendre, gracier. Ils ont donné sa chance au pire des criminels. Et accepté que Patrick Henry puisse changer. Mais Badinter, lui, est obligé de filer à l’anglaise du tribunal. Le temps que l’affaire se tasse, ses deux enfants quittent Paris. Lui reste. Pendant des mois, il reçoit des lettres de mort et d’insultes. Mais il ne renonce pas. Plus entêté que jamais, il court les cabinets politiques, les ministères, multiplie les interviews. Il ne faut pas baisser les bras. Pas maintenant. Alors il accepte les affaires et continue de défendre des condamnés à mort. Sans relâche. La rage au ventre. L’opinion publique campe, elle, sur ses positions. En 1979, un journal du Sud-Est affirme que 75 % de ses lecteurs seraient favorables au maintien de la peine de mort. En 1981, guère mieux : 63 %. Mais cette fois-ci, il y a de l’espoir. François Mitterrand, candidat aux présidentielles, vient de déclarer : « Dans ma conscience, dans la foi de ma conscience, je suis contre la peine de mort ». La gauche remporte les élections. En acceptant le poste de Ministre de la justice, Robert Badinter, devenu le symbole du mouvement abolitionniste en France, sait que sa longue marche touche à sa fin. En ce 17 septembre 1981, il prononce enfin cette phrase tant attendue: « Monsieur le président, Mesdames, Messieurs les députés, j’ai l’honneur de demander à l’Assemblée Nationale l’abolition de la peine de mort en France. »


  14. Je rappelle néanmoins que la peine de mort, existait en France dans les années 70 et que c'est Robert BADINTER, avocat de Patrick HENRY (autre tueur d'enfants), à l'époque qui a plaidé sa cause et qui lui a sauvé la vie.

    La peine de mort a été abolli, à partir de ce moment.

    Maintenant, je n'ai pas lancé ce sujet pour que tout tourne autour de ça, Aude, tu ne retiens que le négatif et ce qui te choques, mais ne dis pas que je suis "parano" et que l'on entend pas de choses pareilles, toutes les semaines.

    A moins que tu passes entre les gouttes et que tu zappes les sujets.

    Tu regardes des émissions du genre: Zone interdite, secrêt d'actualités, complèment d'enquête, faîtes entrer l'accusé, ça se discute... J'en passe et des meilleurs et tu t'apercevras qu'une fois sur deux, ils parlent de criminels d'enfants.

    Les médias continuent à se déchaîner sur ce genre de sujet, mais ne sommes nous pas suffisamment, informés... Il faudrait pour que ce soit efficace que ces émissions soient éducatives, afin d'inciter les gens à réfléchir aux conséquences de leurs actes.


  15. Le père maltraite les 2 gamins, et les parents sont séparés.

    Ceci explique cela !

    Les enfants ont vécu dans un climat de violence, il reproduise à l'extérieur ce qui était leur quotidien à la maison.

    Donc dans un séjour de 3 semaines, vous ne pouvez que limiter la casse, car ces gosses doivent être suivis psychologiquement pour retrouver un certain équilibre après avoir été maltraités par leur Père.


  16. Aude, je ne vois pa pourquoi, tu t'énerves comme ça ! :blink:

    J'ai jamais dis que je souhaitais la mort de quelqu'un, d'ailleurs, si tu lis bien, je posais la question.

    Maintenant, ce n'est pas de la parano et bien avant d'écrire ce sujet, je savais que certains auraient des réactions violentes.

    Je voulais, dans ce post, exprimer mon ras le bol, d'entendre sans arrêt des faits divers à ce sujet ! :enerve:

    Et puis, je n'ai pas besoin d'aller aux Etats-unis, pour voir les couloirs de la mort, j'ai vu pas mal de reportages, qui, franchement, ne m'ont pas choqués.


  17. Bonjour à tous,

    Il ne se passe pas une semaine, sans que l'on entende parler de drames concernant les enfants !

    Le dernier en date, c'est le procés d'Angers où 65 accusés étaient jugés pour des actes sexuels envers de nombreux mineurs. :enerve:

    Nous, en tant que citoyens, nous sommes impuissants et nous ne pouvons que constater les dégâts irreversibles envers ces jeunes.

    OK, ces pervers sont jugés, mis à l'écart de la socièté pendant de nombreuses années, mais après, combien récidivent et même l'obligation de soins, n'y fait rien.

    Ce sont des malades, qui, soit, il faut soigner, mais les mesures sont-elles suffisamment efficaces et dissuasives pour leur empêcher de recommencer, dès qu'ils vont sortir de prison.

    La justice a-t'elle suffisamment d'armes pour lutter contre ce fléau ?

    Ne faudrait-il pas rétablir la peine de mort contre ces détraqués qui massacrent des enfants pour la vie :enerve: ?

    Donc, en tant que citoyen et animateur quel est votre opinion sur cette question ?

    Si vous étiez au gouvernement, est-ce que vous auriez des idées pour endiguer ce fléau, devenu un véritable phénomène de socièté ? :police:


  18. Bonjour,

    L'adolescence, c'est l'âge, où l'on cherche son identité, où l'on ne veut pas être dirigé comme un pion, mais où les repères doivent être néanmoins présent dans l'esprit de ces jeunes.

    Donc, il faut trouver le juste milieu, ne pas leur imposer une activité, mais leur proposer tout en restant distant, en se fondant dans le groupe et en leur confiant des missions.

    Pourquoi, ne pas leur proposer des grands jeux, tels que: course d'orientation, jeu de piste..., ce genre de jeux et encore plus, si c'est eux qui préparent les énigmes, sera je pense un succés.

    Les veillées peuvent être l'occasion d'organiser des boums ou des surprises parties, c'est à cet âge que la personnalité change et il faut trouver des activités qui vont les étonner...Mais je le répéte, proposer, ce n'est pas imposer, sinon cela ne marchera pas avec cette tranche d'âge.


  19. Cependant, les enfants ayant un lourd handicap, devraient selon moi, être suivi par un éducateur spécialisé, car, bien entendu les anims, BAFA, n'ont pas été formés pour s'occuper de gamins présentant de graves problèmes psychologiques.

    Je me rappelle qu'il y'a quelques années, je travaillais dans un CLSH qui accueillait des enfants handicapés mentaux ou physiques, les autres enfants s'occupaient très bien d'eux, mais ils étaient suivis par un spécialiste et se rendaient aux différents ateliers toujours accompagné de leur éducateur, ce qui avait pour but de ne pas perturber le bon déroulement des activités.

    Maintenant, dans le cas de figure énuméré, ci-dessus, normalement avant le début du séjour, l'équipe doit être mis au courant, qu'un ou deux enfants, vont certainement poser problèmes.

    Donc,sois l'organisateur refuse d'assumer la présence de ces enfants, ou alors, il les acceptent et l'équipe doit essayer de répondre présent avant d'envisager un renvoi, la directrice se doit de prendre les bonnes décisions, ce qui, apparemment n'a pas été fait dans le contexte de ce message.


  20. Oui je suis bien d'accord. Mais la seule fois où j'ai vu des plaies s'infecter, c'étaient des plaies assez profondes, l'une avec un morceau de verre dans le sable sur une plage, l'autre avec un clou rouillé, aucune désinfectée.

    Mais désinfecter une plaie profonde, aseptiser pour de vrai, ça me semble bien difficile. En faisant abondamment couler de l'eau sur la plaie peut-être?

    En tous cas avec le matos de trousse de sois conventionnelle, ça doit faire hyper mal de désinfecter!!

    En ce qui concerne les plaies profondes ou graves, nous sommes d'accord, d'ailleurs il ne faut surtout pas essayer de retirer un corps étranger, sur ce genre de blessure.

    Je parlais de plaies superficielles ou d'égratinures où il faut retirer les éventuelles particules, afin que la plaie se referme et cicatrise normalement.

    Pour les autres genres de blessures, nécessitant des points de sutures, c'est aux secouristes et aux urgences médicales d'intervenir.

    En cas de plaie grave, voir la conduite à tenir avant l'arrivée des secours

    en cliquant ici


  21. Salut Fab,

    Etre assistant Sanitaire, ce n'est pas faire passer une visite médicale, c'est aux médecins professionnels de le faire.

    Ce que l'on te demande, c'est de faire régulièrement, l'inventaire de l'armoire à pharmacie, de soigner les enfants ayant des petits bobos, de veiller à l'hygiène et à leur sécurité, de prévenir le directeur et d'alerter les secours en cas de blessure plus grave, nécessitant une visite à l'hopital...

    (Bien sûr, assurer les gestes élémentaires que tu as appris à l'AFPS en attendant l'arrivée des secours).

    Si un enfant est sous traitement médical, mettre les médicaments en lieu sûr et lui donner à l'heure prescrit par le médecin.

    Vérifier les fiches sanitaires de liaison, qui peuvent t'indiquer, si un enfant a des allergies quelconques (exzema, alimentation ou enfants asthmatiques...)

    Pour ce qui est des poux, si tu as un doûte, te faisant croire qu'un enfant en possédent, tu te dois de traiter les cheveux, car cela se propage très vite, lors de contacts physiques entre-eux.

    (voir le sujet sur les poux, lancé par Olivier, il y'a quelques mois, dans le forum des situations)

    D'autre part, il est inutile de peser ou mesurer un enfant durant la colo, ce n'est pas le rôle de l'AS, cela doit être fait lors de la visite médicale, avant le début du séjour.

    Maintenant, il n'y'a rien de choquant, ni d'interdiction à ce sujet, donc si tu juges utiles de le faire, fais le !

    PS: Par rapport au sujet de CLSH, concernant l'assistante sanitaire qui demande aux enfants de se mettre à poil et de les examiner de la tête aux pieds, moi j'appelle ça du vice ou de la perversion :enerve: et non prendre à coeur son rôle d'AS.


  22. Alors rien n'est protégé! :D

    Tu l'ouvres une fois, tu mets tes mains dedans, ça y est, c'est rempli de microbes.

    Hermétique= fermé, clos

    Mais en pratique, les infections dûs à une égratignure, c'est super-rare, non?

    Un "corps étranger qui infecte", je serais curieux de savoir comment ça se passe. Un grain de sable enfoncé sous la peau, ça fait jmal à celui qui essaye de l'enlever mais est-ce bien utile?

    Déjà, on parle d'une plaie et non d'une égratinure et même dans ce deuxième cas, il faut enlever, toutes poussières ou grain de sable pour que cela puisse cicatriser sans risque d'infection .

    Sinon, le risque est de voir la plaie gonfler ou devenir anormalement rouge et douloureuse.

    A signaler qu'une plaie, même superficielle, peut devenir très grave (risque de Tétanos), il faut donc vérifier que l'enfant soit vacciné et ne présente pas d'allergies ou de contre indication médicale.

    Il n'existe pas une liste officielle des contenus conseillés pour la trousse de secours?

    L'arnica, n'est-ce pas considéré comme un médicament? avec des réactions allergiques possibles. Et la bétadine?

    Il n'y'a pas de listes officielles, concernant les produits, mais il faut être objectif et savoir ce qui est recommandé ou pas d'emporter.

    L'arnica est une pommade que l'on utilise dans de nombreuses structures accueillant des mineurs et à ma connaissance, ce n'est pas un produit interdit ou présentant des risques d'allergies.

    La Bétadine est un produit désinfectant qu'on utilise aussi assez régulièrement et là encore, il n'y'a pas de contre indication, quant à son utilisation.