Olivier

Le refus d'activité

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Suite à la journée JPA de samedi dernier, je vous propose de réfléchir aux questions suivantes, pour, espérons-le, avoir un débat intéressant.

Le refus de participer aux activités d'un ou plusieurs animateurs peut-il être perçu par ce ou ces derniers comme une forme de violence de la part des enfants ?

Quelles peuvent-être les causes de ce refus d'activités par les enfants ?

Que peut-on mettre en place pour que la réponse du ou des animateurs concerné(s) ne soit pas elle-même une forme de violence ?

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Salut,

Partons du principe qu'un animateur doit proposer des activités correspondant aux envies des enfants : car si on fait de l'aniamtion c'est bien pour eux et par rapport à leurs demandes pour suciter leur motivation et /ou les motiver.

Je pense que la pédagogie du choix est necessaire sur les grands CVL (ex: activités à la carte) cela permet à tout un chacun de choisir l'activité qu'il veut...

Prenons le cas de figure ou un jeune refuse de faire une activité : plusieurs raisons peuvent etre à l'origine : fatigue, probleme relationnel avec l'animateur, les copains qui ne sont pas la, mauvaise sensibilisation et motivation de l'animateur...Les raisons peuvent etre multiples et diverses : le mieux etant d'ouvrir le dialogue avec les enfants afin de comprendre les causes de leur refus.

Maintenant, il y a aussi le probleme des camps d'ados, quand bien meme certaines équipes jouent la demagogie avec les ados sous pretexte que ce soitr leurs vacances et ne leur proposent aucune activités : mais la faut se remettre en cause : les animateurs doivent etre en force de proposition et non pas se comporter comme des accompagnateurs !!

Mais la question reste large !!! peut etre que quelqu'un d'autre peut intervenir ... :D

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ce n'est pas une forme de violence, le loulou n'est tout simplement pas intéressé pas l'activité. Et la cause peut être l'animateur, il n'est pas motivant (ou/et même motivé lui même), et tout les autres points dit pas Kams. J'insiste sur le point de la sensibilisation, qui fait déja "la moitié du travail" POur donner l'envie a l'enfant.

l'animateur donne le choix aux enfants et continu quand les activités ne plaisent pas, les enfants s'approprient les activités et ce doit pas être l'animateur qui fait son truc perso. Donc là, y'a aucune forme de violence pour ce qui est de la réponse des anims a cette non motivation. Quel intérêt a forcé le loulou (là se serait une forme de violence)? On lui donne le choix.... (je radotte...)

Qu'est ce qu'il se passe concrêtement a la journée JPA? Ca fonctionne sur un système de stand? (je suis peut être a coté de la plaque), parce que c bien quand l'enfant n'est pas un simple consommateur...

( B) Intéressant Olivier comme débat..)

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je ne pense pas non plus qu'un enfant soit violent en refusant une activité. Quand il y a des dérives de ce type, c'est bien souvent parce que le loulou n'a aucune possibilité institutionnelle pour négociezr, il doit obéir un point c'est tout. Dsans ce cas là en revanche, l'anim peut faire preuve d'un certain type de violence.

Dès que l'on organise à l'avance un planning sur un centre (hors activités spécifiques occasionelles), on ne tient pas compte de ce que va vivre l'enfant pendant ses vacances. Il y aura forcément un décallage entre ce dont il aura envie et ce que l'animateur va proposer. D'où un refus de participer pour le jeune.

Quant à ce que l'on peut mettre en place, je pense que ça relève du rôle formateur du directeur, et certainement aussi des moments réels de parole que l'on accorde à l'enfant. (pas les boites à idées relevées de temps en temps au 5ème par les anims et dont les propositions ne sont pas prises en compte...). La participation des jeunes aux réunions est un exemple parmi d'autres.

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Il me semble que la question d'Olivier tourne sur la violence resenti par l'animateur face a un loulou qui ne veut pas participer.

Le terme violence me parait fort; quoi que...

que ce passe t'il dans la tête d'un anim dans cette situation. remise en cause, déception, nécessité d'encadrer (réglementation), incompréhension, rejet, etc...

face a ce problème il me parait important que l'anim positive aussi cette attitude.

Pour ce faire, dans le projet péda négocié avec les anim j'accorde une part importante a la définition des relations que nous souhaitons favoriser dans la micro société qu'est le centre.

partant du principe que rien faire est une activité dans laquelles il se passe beaucoup de chose, comment ce rien faire peut il s'organiser en fonction des projets collectifs du centre.

si ce rien faire est un rien faire permanent, là je pense qu'il faut réagir et parler avec le jeune de la réalité du centre comme micro société et de la possibilité pour lui d'en être un acteur. Il faut bien sur que le projet soit un projet permettant l'engagement de chacun en tous cas il faut expliquer en quoi l'attitude pose problème a l'équipe.

Il me semble que la "violence" contre les animateurs est bien réelle et dans bien des domaines

a suivre jean yves

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car si on fait de l'aniamtion c'est bien pour eux et par rapport à leurs demandes

Eh oui... mais il y a aussi le cas où le groupe de jeunes ne sait pas ce qu'il veut, ou n'a carrément rien envie de faire.

J'ai eu le cas cet été avec un groupe de pré-ados. Impossible d'en tirer qqch. Motivation zéro. De vraies loques humaines :(

Ils se barraient en plein milieu des activités, qu'ils avaient pourtant demandé à faire. Et quand on leur demande "mais à la fin, que voulez-vous faire ???", la réponse tournait autour de... rien :dodo:

Dans ce cas, bon animateur ou pas, je ne vois pas trop ce qu'il y a à faire. Même les anciens anims chevronnés étaient un peu médusés :blink:

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CX est clair que les pré ados sont agacants pour ca, mais dans ce cas, peut etre peut on trouver dans le groupe en question "l element" qui va insuffler cette facon negative et essayer de remodeler le groupe pour lui redonner la peche!!Ca n emarche pas toujours mais ce st tout ce que j ai trouve avec cette tranche d age trop vite blazee!!

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Invité martine

Salut,

Ce n'est pas toujours évident de faire la bonne activité au bon moment avec le bon public et lorsqu'il s'agit des pré-ados, ados, nous savons tous qu'un de leur principal plaisir est de ne rien faire et que pour secouer cette force d'inertie il faut des tonnes de patience, d'imagination...

Pendant des années, en France, je n'ai jamais trop eu le problème d'enfants qui refusaient de participer à des animations mais, maintenant je vis et travaille en Allemagne et je peux vous dire que c'est autre chose. D'abord, nous sommes ouverts tous les jours de 13h à 17h (système scolaire oblige). Ensuite il s'agit de portes-ouvertes c'est á dire que les enfants ou les jeunes peuvent aller et venir ce qui veut dire que l'équipe doit être hyper motivée et motivante pour que les enfants restent. J'avoue qu'au début cela m'a quelque peu destabilisée et, en tant que professionnelle, je me suis (et continue) remise en question plus d'une fois. J'ai instauré un système un peu intermédiaire avec inscriptions (pas toujours faciles à obtenir) et ouverture de notre café avec billard, ordinateurs et salle de baby-foot à des heures précises plus animations organisées. Cela a entrainé une baisse d'effectif un moment puis, peu à peu les enfants se sont habitués à ces règles et sont revenus : ceci dit, certains ne viennent qu'aux heures d'ouverture du café et d'autres ont appris à aimer cette formule même si tout n'est pas gagné et que parfois je suis un peu déçue de mettre en place des choses qui ne fonctionnent que moyennement...mais c'est aussi comme cela que nous évoluons dans ce boulot.

Je ne sais pas si j'ai fait avancer le débat mais je voulais juste vous faire part de mon expérience.

Cordialement votre

Martine B)

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bonjour martine

enfin quequ'un qui travail comme nous, je commençais a désespérer ! :bye:

il faut que l'on échange sur nos pratiques et sur les actions mises en p^lace.

en deux mots, nous travaillons sur le principe de l'accueil éducatif, ce qui veut dire que nous essayons de mettre en vie trois fonctions: la médiation, la concertation et l'information.

nous sommes ouvert comme toi de 13h30 à 19h du mardi au samedi, ce qui n'empeche pas les projets de week end.

notre plublic est répartie sur trois axes les préados, les ados et les jeunes adultes. Il n'y a pas d'adhésion et chacun vient et repart quand il veut

l'équipe est composée de 4 animateurs responsables de secteurs et de vacataires type bafa plus moi comme coordiateur.

voilà en deux mots a + sur le site si tu le souhaites.

amicalement jean yves

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Invité Martine

Bonjour Jean-Yves,

Contente de trouver aussi un collégue français dont le fonctionnement ressemble au nôtre. Mon travail est axé sur les 6-14 ans (13-17h) et j'ai un collègue qui lui s'occupe de la tranche plus élevée des 15-21ans (17h-21h).

Je ne me suis pas connectée car en ce moment, à la maison j'ai quelques problèmes de connexion sur les sites malgré un matériel performant et j'attends le coup de main d'un pote. Je te donne mon e-Mail du boulot afin que nous puissions échanger : c'est parfois encourageant d'avoir le retour ou les idées de personnes qui travaillent un peu comme nous, même si nos publics ne sont pas tout à fait identiques.

Nous avons un site internet en allemand-français-anglais relativement récent et donc encore à travailler mais qui te donnera une petite idée : www.interju.org

Quant à mon mail : m-rossi@interju.de

J'espère te retrouver bientôt d'autant que notre travail repose sur l'interculturel et que nous organisons des échanges notamment avec la France.

Amicalement

Martine

PS : pour les autres qui liront, pardon d'avance si vous avez l'impression que ceci est un message privé mais si vous voulez vous pouvez aussi me contacter :D j'ai toujours plaisir à échanger. :wub:

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Je suis animatrice depuis maintenant 13 ans (BAFA,BAFD,DEFA en cours.) et ma conception de l'animation a évolué au cours de mes expériences (heureusement!)

Je revendique aujourd'hui le droit de l'enfant (ou de l'ado) de ne RIEN FAIRE.

A nous les premiers, durant notre temps libre, nous nous octroyons ce plaisir (ce BESOIN). On ne cesse de nous gonfler avec les rythmes de l'enfant mais trop souvent on oublie le plus important: en tenir compte!

Laissons les enfants vivre à leur rythme et participer à l'atelier ou animation si leur souhait est là. Le temps libre c'est aussi avoir la possibilité de ne rien faire, et cela contribue également à l'épanouissement de l'enfant.

@ plus

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Tout a fait d'accord avec toi Liloo (bienvenue :D )

cet été quand un enfant ne voulait pas faire une activité, donc ne rien faire, on lui laissait la possibilité de le faire.. (c paradoxal tout ca..) Donc le loulou restait dans les locos pour dormir ou tout simplement se ratrouver seul, un moment a lui tranquille. On (les anims) y jetait un petit coup d'oeil de temps en temps quand même, normal. Comme c t mon stage pratique, au début cette méthode me surprenait parce que je me disais que si l'enfant vient en centre pour ne rien faire, c quand même un peu con. Donc, oui, ne rien faire pour l'enfant pour qu'il se retrouve un peu c'est un besoin, pas toujours si évident du coup à y penser...

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Juste un bémol quand même: permettre à l'enfant de ne rien faire doit bien être le but en lui même et non le moyen pour l'anim de ne rien ramer non plus...

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Les actis à la carte et tout ça, c'est super. Jusqu'à présent, j'ai fait des colos où on était suffisamment d'anims pour se permettre de proposer des actis qui n'intéressent que trois ou quatre enfants, mais là, je me retrouve dans une colo où on est 4 anims pour 47 enfants. Les quotas sont là, mais c'est plutôt difficile de proposer suffisamment de choix pour que tout le monde soit content. En général, il n'y a que deux choix, et c'est vrai que tous les enfants ne sont pas contents... Mais comment résoudre ce problème? Deux des animateurs proposent des actis québécoise, restent les trois autres. Seulement, sur le nombre d'enfants, certains veulent faire de grandes actis un peu sportive, quelques uns autre chose de plus calme, et encore un autre groupe faire des jeux où "l'on réfléchit". Moi je veux bien, mais il se pose un problème: pour faire un grand jeu il faut quand même un certain nombre d'enfants (au moins une 15aine), pour faire des jeux où l'on réfléchit, il en faut aussi un certain nombre (à 5, ça fait un peu juste)... Comment faire pour contenter tout le monde?

Si vous avez des solutions, je suis preneuse, car là je ne sais pas trop comment faire, surtout que les autres anims ne sont pas habitués à faire des actis à la carte. Donc ça facilite pas les choses.

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Salut à tous!

Je suis assez d'accord avec vous sur le "droit de ne rien faire", c'est vrai que c'est important (selon moi) de laisser à l'enfant ce droit qui est comme quelqu'un le soulignait un besoin, tant que cela n'est pas systématique, un coup de barre ou un coup de blues çà arrive... Vous avez parlez beaucoup des ados...

Pour ma part je fais mon stage pratique en ce moment dans un CLSH avec des primaires, et nous sommes 2 animatrices pour un groupe d'une vingtaine d'enfants. On cherche à etre inventivives à varier les types d'activités, avec tout le groupe ou en plus petits groupes, en intérieur en extérieur...bon bref, en prenant compte des envies et des caractères des enfants.Il y en a toujours qui non pas envie de faire l'activité et ce avant même ce savoir ce que c'est!!! :wacko: On nous a dit qu'on "héritait" de la situation des mercredis de l'année. On veut bien mais bon, surveiller quelques gamins alors que tous les autres sont en acti sachant qu'on est que 2 c'est pas évidents...après on essaye aussi de les motivés! Et même si on arrive à captiver un "terrible" que 20 minutes c'est une petite victoire! :trompette:

Appeler çà de la microviolence je sais pas si c'est justifié...après pour les causes...pffffffffiou peut y'en avoir pleins!!! Mais yen a une qui autour de laquelle je m'interroge...parfois çà viens de l'enfant, de sa culture de son histoire et de son éducation; il s'agit donc de quelquechose de plus profond et de moins ponctuel que le coup de fatigue ou le fait de ne pas avoir envie de faire une activité ou l'on court, etc...

Et oui! En CLSH on a le matin et le soir le contact avec les parents!!! Et on a des enfants qui sont complètements les rois avec des parents tout soumis et "gaga" de leur enfants...c'est la situation qu'ils ont choisient, elle ne me regarde pas, c'est leur vie de famille privée mais après je pense que la vie en collectivité impose certains "codes", pour ma part je ne viens pas au centre pour faire du gardienage, ou répondre aux caprices de certains enfants!!! :enerve: Après je pense qu'il y a tout un travail de socialisation de l'enfant et de sensibilisation à la vie en collectivité, une transition à lui faire faire, lui faire comprendre que ce n'est pas parcequ'il intègre un groupe qu'il perd pour autant son individualité...mais c'est dur!!!En plus le faire sans violence, (pas physique bien sur!!!) mais sans hurler, parler avec un enfant de 7 ans çà demande de la patience et de trouver les mots et surtout les acti et les choses pour lui faire intégré çà...parceque les discours à cet age là :blink: (pis mm les grands discours et les leçons de moral çà saoule!!!)enfin c'est mon point de vue et ma façon de procédé...je me demande ce que çà vaut...et l'impact que çà à...

Comme le disait Oublieuse "comment faire pour contenter tout le monde?"

Question que bien d'autres ce sont posés avant moi, et que bien d'autre se poseront encore!!! :bye:

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En ce qui me concerne je pense que le fait que les enfants ne veulent pas faire l'activité qu'on propose peut être perçue comme une violence par l'animateur, si l'on entends par violence, une sérieuse remise en cause, qui sur le coup n'est jamais très agréable. Je crois qu'on ne peut s'empêcher de se poser la question, est-ce que les enfants ne m'apprécie pas ? Est-ce que je suis réellement à leur écoute ? Alors quand on essaie de l'être et que parfois la réponse à ces question est non, eh ben je crois qu'on peut dire que c'est une sorte de violence.

Sinon, j'ai aussi été confrontée à des enfants qui disent "oh non!" avant de savoir, ou de trainer les pied pendant tout l'activité. Pour eviter ce genre de problème, il suffit de permettre aux enfants de rien faire, et sur ce point je suis tout à fait d'accord avec ce qui a été dit plus haut. Bon, c'est sur qu'il faut être assez nombreux dans l'équipe d'animation pour pouvoir suivre.

Je me souviens d'une veillée danse folk avec trois enfants (les seuls motivés, les autre faisant ou "rien" ou du théatre) pour trois anims, eh bien c'était super ! Enfin, il faut dire que le taux d'encadrement était d'un anim/5 enfants. :D

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C'est clair qu'un taux d'encadrement d'1 anim pour 5 enfants, c'est top, mais quand ça n'est pas le cas, il est difficile de permettre à trop d'enfants "de ne rien faire". Surtout si dans le centre il n'y a aucun matériel (pas de livres pour faire un coin bibli, pas de coussins pour avoir un coin douillet, pas de jeux d'extérieur, etc.) car dans ces cas-là, ne rien faire ça devient foutre le bordel dans les chambres ou se jeter des cailloux.

Je pense que le mieux pour remédier à totu ça, c'est de faire une sensibilisation du tonnerre, avec déguisements, histoire et compagnie. Les enfants embarquent beaucoup plus. Un exemple concret:

l'autre soir, il y avait deux veillées: jeu ou contes. Quand l'animateur a annoncé la veillée, il y en avait trois qui étaient intéressés par les contes, quand je suis arrivée déguisée en vieille avec ma flûte traversière, ils ont été 20 à se lever pour me suivre.

Tout est dans l'emballage. Ceci dit, il arrive que même avec un emballage du tonnerre, les enfants n'accrochent. C'est arrivé dans cette même colo: un jeu de nuit en forêt avec une méga histoire, ils étaient captivés, et au moement de jouer, ils ont triché, se sont tapé dessus, et la veillée a été écourtée!!!

Sans parler des enfants qui font la gueule à l'annonce d'un jeu: "c'est quoi?" en fronçant le nez et en faisant la moue. Rien de plus agaçant!!!

Modifié par Oublieuse

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