Olivier

Ce serait, de toute façon, bien prétentieux :D Si tu es conscient de çà, pourquoi vouloir t'obstiner à ce qu'ils se souviennent de toi ?... en colo, carpe diem...

Dimanche 11 septembre 2005 - 17h12 - Mise à jour de sécurité des forums.

AnimNet.com est cité ce mois-ci dans l'article "Bien se documenter sur Internet" proposé par Anim'Magazine (revue de l'Ufcv) dans trois catégories : les formations, emploi et activités jeux et chants. TopAnim.com (un service AnimNet.com) est cité ce mois-ci dans la rubrique sites Internet du journal de l'animation :

Pour info, "Anim'Magazine" (la revue de l'Ufcv) a consacré un dossier à ce sujet dans son numéro de Juillet/Août 2005 : "Ces petits (?) maux qui les déstabilisent". Détails ici

Après recherche, c'est bien exact - c'est une des conditions d'attribution de l'habilitation à dispenser des formations BAFA et BAFD : Cependant, l'existence de ce dispositif de formation ne signifie pas que chaque formateur soit formé :D

Tu diminues la résolution de la photo (en pixels) avec un logiciel de retouche d'images. Si le format d'origine n'est pas JPG, PNG ou GIF, tu l'enregistres sous un de ces formats qui ont l'avantage de générer des fichiers de petite taille.

J'ai simplement dit que ce n'était pas obligatoire... cela ne veut pas dire que ce n'est pas nécessaire. L'organisme pour lequel je travaille propose (ce n'est pas obligatoire) des formations de formateurs à thème (les valeurs de l'organisme, l'évaluation des stagiaires, etc.). La meilleure façon d'apprendre reste encore le terrain - si on est avec un bon directeur de session, il n'y a pas de raison que cela se passe mal.

Non... libre à chaque organisme de former ses formateurs ou non... et ce n'est pas la DDJS qui peut renseigner à ce sujet.

Ce n'est pas sur AnimNet.com que tu obtiendras ce rensignement. Ce forum n'aborde que les sujets liés à l'animation, aux centres de vacances et de loisirs.

Oui, je ne vois pas non plus ce qui vous empêche de rédiger un signalement complémentaire...

Non, le problème c'est que tu ne connais pas l'organisme car tous les projets des directeurs encadrant pour la CCAS se ressemblent (on a une trame très précise pour le rédiger). As-tu seulement lu le projet éducatif ? les référentiels internes ? Les problèmes que tu as rencontrés ne relèvent (à mon avis) pas du PP, mais seulement du fait que tu débutes dans l'animation et à la CCAS. Comme tu dis, "Après, ca va s'améliorer" C'est bien beau de bénéficier d'une dérogation pour bosser dans ce CE mais encore faut-il faire l'effort de s'intégrer et prendre connaissance des valeurs défendues par l'organisme (peux-tu citer les 3 valeurs principales ?)... 3 pour 38 insuffisant ? tu verras bien pire :D Faut pas déconner, ca fait 12 ou 13 enfants par anim, c'est largement tenable. Et dans ces situations, il faut proposer des activités qui permettent d'accueillir beaucoup d'enfants (jeux sportifs par exemple) et en éviter d'autres qui demandent beaucoup d'attention (activités manuelles par exemple).

Il y a plusieurs choses dans ton message. Mes réponses seront fonction du fonctionnement habituel à la CCAS. 1) Le gâteau : effectivement c'est pour moi une grosse bourde. L'animateur n'a pas à convenir de quelque chose avec l'équipe de cuisine. Cela crée à 90% de chances des problèmes. Donc tu passes par ta direction, même si tu dois attendre un peu pour avoir ton info. 2) L'inscription : l'adjointe, en son absence, aurait dû laisser des consignes pour le départ en activités. Une chose est sûre, si tu as pris la décision de modifier les inscriptions, il ne fallait le faire qu'en étant sûr de maitriser la situation. Une répartition de 48 enfants ne s'improvise pas. 3) Remettre en question un fonctionnement devant les enfants : très grosse bourde. 4) Faire plaisir aux enfants n'est pas un but, effectivement. Car, si tu réfléchis, tu verras que faire plaisir à un enfant c'est vraiment très facile (organise un jeu de guerre, ils vont adorer, mets une console de jeux sur la colo, ils vont adorer... mais tout cela ne rentre pas dans tes objectifs pédagogiques !) Ceci dit, les enfants devraient pouvoir s'inscrire dans l'activité de leur choix. Le problème se pose toujours lorsqu'on ne propose que deux activités. En général, je ne l'autorise pas : 1 anim = 1 activité proposée et on regroupe si tous veulent faire la même chose. Pour avoir plus de chance de satisfaire tous les enfants, il faut leur proposer le plus de choix possible... L'argument de ta directrice et de ton adjointe peut s'entendre mais il faut veiller à ce que ce ne soit pas toujours les mêmes qui soient frustrés (un enfant se construit par la frustration de ses désirs mais le cadre du centre de vacances se prête mal à l'application de cette théorie). Je pense qu'il faut que tu prennes du recul, la pédagogie n'est pas simple et ce n'est pas une science exacte...

Le tchat fonctionne correctement. Rappel : pas d'espace ni d'accent dans le pseudo.

http://www.pichon.fr Le catalogue peut être commandé en version papier ou Cd-rom ou téléchargé en version sans image (4 Mo) ou complet (75 Mo).

Exact Re-exact, à quelques exceptions près (dont clsh)

Mais je ne pense pas que clsh s'occupait des comptes de cuisine (même nous en direction on ne gérait pas çà, c'est le chef de cuisine gestionnaire qui s'en occupe) - ce qu'il à propos des budgets alimentaires n'est donc pas forcément le reflet de la réalité...

Non... un bar c'est un débit de boissons... Un centre de vacances est un établissement privé, qui ne tombe pas sous la loi des débits de boissons, commerces et lieux publics. Donc la loi empêche tes jeunes de moins de 16 ans d'acheter de l'alcool à l'extérieur (théoriquement bien sûr :D ) mais rien ne t'interdit d'acheter de l'alcool et de leur servir ensuite sur le centre (toujours théoriquement ). Ben ca c'est faux... (ou montre-nous le texte !) Pour ma part, je me réfère au code de la santé publique art. L.3342-1.

Au niveau alimentaire, la CCAS fait la différence entre les enfants et les adultes : le budget n'est pas le même (je n'ai plus les chiffres en tête mais il est légèrement plus élevé pour les adultes). La différence ne se faisant pas au niveau des repas puisque les adultes mangent la même chose que les enfants dans une proportion relativement identique, la différence peut se faire dans l'achat de produits pour le 5ème. Cela n'indique donc aucunement une mauvaise gestion. Un des axes majeurs de l'action sanitaire de la CCAS s'est effectué cette année autour de l'alimentation et les budgets le permettaient : les enfants n'ont pas été privés de quoi que ce soit pour le 5ème des anims... et de parole de chef de cuisine, tant que le retour des enfants sur les fiches d'évaluation est "on a bien mangé", la hiérarchie ne dit trop rien si les budgets ont été un peu dépassés (canard à l'orange oblige...). Pour un autre organisme pour lequel j'ai dirigé, j'ai carrément eu une ligne "5ème repas" dans la gestion budgétaire. Je ne vois pas pourquoi le 5ème devrait forcément toujours sortir de la poche des anims puisque le travail demandé implique en CVL de veiller jusqu'à au moins minuit en général. Les anims sont payés peu, mais sont censés être nourris et logés.

Toi peut-être, mais la majorité des anims sont plutôt de grands ados qui en sont absolument incapables ! Le lendemain soit, mais si en allant te coucher, à moitié rond, tu rencontres un gamin qui a un problème ? Notre responsabilité ne se limite pas à 7h-23h...

La loi n'interdit pas l'alcool pour les adultes en CVL. La CCAS (puisque c'est là que tu as fait tes colos), par contre, interdit la présence d'alcool sur ses centres (tes dirlos avaient donc raison sur leur centre). Les deux sessions que je viens d'encadrer se sont déroulées sans alcool et cela n'a pas empêché la bonne humeur du 5ème (nous avions acheté de la bière sans alcool).

Ou clique ici.

Bonjour, La réponse est ici.

Bonjour, Il semble effectivement qu'il y ait un problème avec ces documents. Ils seront proprement remis en ligne lors du passage à la version 5 d'AnimNet.com. En attendant, si vous souhaitez un document particulier, contactez-moi par e-mail en mentionnant le document souhaité.

Eh bien c'est une honte. Ils peuvent relire le projet éducatif, la charte de déontologie et le référentiel ccas ! Le problème venait donc de l'absence des anims plutôt que de leur nombre... ! "Pluriel" signifie accueil d'enfants handicapés (et pas deux tranches d'âges différentes).

D'abord, on appelle pas un enfant handicapé "une intégration"... c'est un enfant. Cette attitude va à l'encontre des valeurs de l'organisme dans lequel tu as travaillé. Ensuite, je ne vois pas pourquoi des anims 6/8 s'occuperaient de jeunes de 12/14 et vice-versa, handicapés ou non. Lorsque deux tranches d'âges cohabitent sur un centre, les équipes sont cloisonnées. Vous étiez en droit de refuser, d'autant plus que vous n'aviez pas la responsabilité légale de ces enfants (les deux tranches d'âges sont déclarées comme deux séjours différents auprès de la DDJS). Enfin, 4 anims pour 46 enfants (+1 anim avec l'enfant handicapé), çà fait plus de 1 pour 12, donc je ne comprends pas votre problème de gestion... Pour info, le projet pédagogique mentionne normalement que le centre est pluriel. L'accueil d'enfants handicapés se fait en théorie toujours par 2, un handicap lourd et un moins lourd.