Quentin

Salut ! Parfois un peu oubliée, coincée entre plusieurs salles d'activité, la bibliothèque est néanmoins essentielle en CVL. Mais encore faut-il penser véritablement à la place qu'on peut lui accorder : est-elle en libre-service ? y a-t-il des heures auxquelles elle est ouverte ? qu'y trouve-t-on ? y a-t-il une organisation par rayons ? Et vous, votre bibliothèque, elle ressemble à quoi ?

Le mieux est encore de faire de vraies mises en situation, avec du vrai sang et tout et tout :D Rien de mieux pour tester les capacités de chaque postulant ! Pour le vrai vomi, on attendra hein... :D :malade:

Faut pas t'enflammer ! En attendant, on est plusieurs à te poser des questions mais tu n'y réponds pas ! C'est pas comme ça qu'on va faire avancer le débat...

Oui Thomas, tu peux bien sûr valider ton stage pratique de cette façon en cumulant 14 mercredi après-midi en CLSH. Mais je suis étonné que tes formateurs ne l'aient pas dit...

C'est bien tes photos, il y a de la bouffe partout :D Mais est-ce que bien manger, c'est manger beaucoup ou manger de qualité ? Perso, je suis pas un grand fan des repas gargantuesques (je ne dis pas que tu n'as fait que ça pendant la colo). Comme Nico, si je dispose d'un budget alimentaire aussi important, je préfère miser sur les bonnes choses et délaisser pour un moment le Super U du coin au profit du marché local. Attends, s'il reste 800€ de budget, il y a un problème quelque part. Soit vous avez limité vos dépenses (ce qui ne semble pas être le cas), soit on vous a donné beaucoup trop. Je ne sais pas qui décide de l'affectation des budgets à la CCAS, mais il est clair qu'ils ont surévalué vos besoins... Cela dit, si le surplus sert à la CCAS pour entretenir son patrimoine de centres de vacances, alors c'est une bonne chose :diplome:

Non Rémy, cette situation n'est pas si étonnante. Disons que cette AS en a peut-être rajouté dans ses phobies pour être sûre de ne pas en foutre une pendant le séjour ! Mais a-t-elle été recadrée au cours de la colo ? Concernant le recrutement, le problème est insoluble car tu peux tomber sur de véritables comédiens... Bien sûr, la majorité des candidats n'est pas dans ce cas (heureusement !). Le mieux est encore de laisser le candidat décrire sa vision du rôle de l'AS, que tu peux ensuite comparer à la tienne et ajuster certains points si besoin. Et ensuite, pendant le séjour, tu t'assures que les missions sur lesquelles vous vous êtes mis d'accord sont bien respectées.

Si, on a le droit à partir du moment où ton véhicule est déclaré pour l'usage professionnel. Il faut en plus que ton assureur certifie que tu as le droit de convoyer des enfants dans ta voiture dans le cadre de tes activités professionnelles et/ou associatives. Pour info, seule la MAIF donne cette option gratuitement. Pour les autres assureurs, c'est parfois payant... et parfois même c'est impossible :(

Je vais dans le même sens qu'Olivier... Si la majorité des anims restent soft car ils connaissent leurs limites (ce qui n'est toutefois pas le cas de certains anims jeunes), ils n'empêchent qu'ils ont de l'alcool dans le sang. En cas de souci avec un enfant en pleine nuit, ils sauront sans doute réagir convenablement... Mais si l'enfant a besoin d'être conduit à l'hôpital, qui prend le volant ? L'anim qui a 1,5g ? Ou alors, on réveille l'anim qui n'a pas bu ? :D

J'ai du mal à comprendre l'attitude de ta directrice, qui a visiblement imposé à chaque anim de s'occuper à tour de rôle des enfants handicapés. Or, de la même façon qu'on n'impose pas à un anim de s'occuper des 4-6 ans alors qu'il n'est à l'aise qu'avec les 12-14, on n'impose pas un tel système ! Il est évident que tous les anims ne sont pas forcément prêts à s'occuper de ces enfants, qui pour certains vont demander des soins particuliers qu'il n'est pas évident de prodiguer pour le premier anim venu. S'occuper d'un enfant handicapé à temps plein, ça se prépare et l'anim qui le fait doit être motivé et compétent. Je trouve en outre très limite le système de turn-over pour s'occuper du gamin handicapé... C'est pas préférable d'avoir un référent dans ce genre de situation ? Tu dis par exemple que l'une des enfants handicapées devait être aidée pour aller aux toilettes : dans ce cas, c'est mieux que ce soit toujours le même anim qui s'en charge. Ben oui, la gamine a pas forcément envie de se mettre toute nue devant un anim différent chaque jour... Le petit texte en bas, tel que tu le décris, me fait plutôt penser aux mentions CNIL obligatoires lorsque tu communiques tes coordonnées et infos persos à un organisme. Dans ce cas, ça n'a rien à voir avec ton contrat. Si des modifications sont apportées au contrat en cours de route, elles doivent être notifiées à l'écrit dans un avenant. Par ailleurs, son système de te basculer sur les 12-14 me paraît légalement douteux. Avant le début du centre, elle a dû déclarer à JS deux séjours : celui des 6-8 et celui des 12-14, avec deux équipes d'anims bien disinctes. ELle ne peut donc pas te faire passer d'un séjour à l'autre, sauf à prévenir la DDJS. L'a-t-elle fait ?

Non, Rémy ! Le poids et la taille ne sont pas demandés sur la fiche sanitaire de Jeunesse et Sports. Cf. Fiche sanitaire de liaison Certains organismes, comme l'UFCV, les demandent néanmoins dans leurs formulaires d'inscription.

Ca en devient gênant que des acteurs de l'animation eux-mêmes se mettent à donner des conseils ou des avertissements de ce genre ! Je te rassure CLSH, ton geste tel que tu le décris n'avait rien d'ambigu. La réaction de ta directrice est effectivement exagérée... Peut-être qu'elle voulait se couvrir (mais dans ce cas, ça veut dire qu'elle doute de son équipe !), peut-être aussi qu'elle voulait te mettre en garde "gentiment" contre les éventuels problèmes judiciaires qui pourraient survenir... Il faut vraiment qu'on m'explique en quoi prendre un enfant sur ses genoux ou lui passer la main dans les cheveux relève de l'attouchement... Juridiquement, il faut se rendre à l'évidence : ça ne tient pas debout.

Juste une remarque... même si je vais passer pour un vieux con : est-ce vraiment pertinent de ne faire que des jeux d'eau en pleine période de sécheresse ? Vous pouvez pas trouver d'autres idées de stands ?

Je ne sais pas si je vis sur une planète bizarre ou si je suis atteint de myopie sévère mais je n'ai encore jamais vu d'adulte me regarder comme une bête curieuse lorsque je prends un enfant sur mes genoux... :D J'ai quand même l'impression que les adultes savent faire la différence entre un simple geste d'affection et un véritable attouchement (heureusement !). C'est pour ça que j'ai du mal avec les conseils que peuvent donner certains formateurs BAFA ("ne prenez pas les enfants par la main", "évitez les bisous"...). Tous ces gestes sont anodins : où est le mal là-dedans ? Je veux bien me protéger, mais de quoi ? Pensez-vous franchement qu'un anim va être traîné devant les tribunaux pour avoir pris un enfant sur ses genoux ? Arrêtons la parano ambiante !

On a tous connu ces moments de déprime passagère après un centre, c'est humain... Mais il faut aussi savoir prendre sur soi, non ? J'ai déjà un peu de mal avec les anims qui pleurent devant les enfants le jour du départ... Notre rôle n'est-il pas ailleurs ? Comment voulez-vous consoler un enfant si vous-mêmes vous êtes dans un état pitoyable ? Quant à l'après-colo maintenant, c'est sûr que ce n'est pas facile. Le simple fait de passer d'un rythme speed à un rythme tranquille est déjà dur, et le coup de blues au moral n'est pas fait pour arranger les choses. Mais il faut aussi se méfier de l'admiration béate qu'on peut avoir en revenant de colo. OK, il y a eu pleins de bons moments mais y'aurait pas par hasard des trucs qui n'ont pas été ? Comment on pourrait les éviter l'année prochaine ? Et tiens, cette animation que je pensais bien, elle a foiré finalement : pourquoi ? C'est assez instructif de faire un bilan à chaud. Et c'est rassurant quand on arrive à cibler ses points faibles et qu'on sait comment y remédier. C'est la meilleure façon de partir plus assuré pour une prochaine colo.

Rémy, les émissions dont tu parles reviennent souvent sur des faits divers anciens... Faites entrer l'accusé a notamment parlé de l'affaire Grégory (1984), du crime de Patrick Henry (1976), de l'affaire du pull over rouge (1974), de l'affaire Patrick Dils (1986) et de la disparition de Charles-Edouard Turquin (1991). Tu trouves ça récent ??? Attention à bien lire entre les lignes et à être critique aussi ! D'autre part, la finalité de ses émissions n'est pas de faire de l'éducatif... Et puis, faut pas se leurrer : c'est pas parce que certains crimes sexuels sont passibles de la perpétuité que ça empêchera certains de passer à l'acte. N'oublions pas que les criminels sont avant tout malades. Et pour venir à bout d'une pathologie, c'est pas Jean-Luc Delarue ou Christophe Hondelatte qui seront d'un grand secours ! :D Je prendrai plutôt le parti inverse de toi : je trouve qu'en un siècle, la place de l'enfant a été reconsidérée dans la société. Certes, la maltraitance ou les abus sexuels existent toujours mais l'enfant est aujourd'hui beaucoup plus respecté par l'adulte.

Ce qui est écrit sur un contrat est bien trop réducteur... Oui, la personne en question avait la fonction d'AS, mais était-elle pour autant interdite de participer à des temps d'animation ou de manger à la table de la direction ? Une AS, même si elle s'occupe exclusivement de l'infirmerie, reste une composante du personnel. On ne peut pas l'enfermer dans ses locaux ! Le problème, c'est que le rôle de l'AS a peut-être été mal ou pas présenté aux autres anims, ce qui fait que certains ont pu se sentir dénigrés par l'AS lorsqu'elle a fait des remarques (justifiées ou non, c'est une autre histoire...). Comme le souligne Rémy, si on pose d'entrée les rôles, statuts et fonctions de chacun, ça évite déjà pas mal de malentendus ou de ressentis...

C'est l'éternel problème des enfants suivis à l'année par des éducs et qu'on envoie en colo l'été. La majeure partie du temps, ça se passe bien mais il arrive effectivement qu'il y ait quelques couacs. Et revient toujours la même raison avancée par les anims : "On est pas formés pour". Là-dessus, je les rejoins. En formation BAFA, on te présente les enfants comme gentils, polis, affectueux, etc... en oubliant au passage que certains sont aussi psychotiques, suicidaires ou ultra violents ! On ne peut donc pas demander à un anim en colo de faire le même travail qu'un éduc à l'année : d'une part, il n'a pas les diplômes et compétences pour, d'autre part, il risque d'agir complètement à l'inverse de l'éduc... Sachant que les éducs (et aussi les parents) sont généralement peu bavards pour nous expliquer comment s'y prendre avec tel ou tel enfant, il ne faut pas s'étonner que les anims se cassent les dents sur certains cas... On ne peut qu'essayer de contenir les problèmes, et c'est déjà bien quand on y arrive. Si avant la colo, l'organisateur a connaissance des problèmes d'un enfant, il doit s'interroger pour savoir si les conditions d'accueil du centre sont compatibles avec les troubles du gamin. Et ne pas hésiter à en discuter avec la famille ou les éducs, quittent à paraître un peu inquisiteur. Mais je préfère qu'on mette les choses à plat avant le départ plutôt que de découvrir les problèmes en cours de route et se retrouver démuni...

Tant que la demande de câlins vient de l'enfant lui-même, le geste me paraît sans ambiguité. Il n'y a pas de plaisir malsain qui intervient là-dedans, c'est au contraire un geste naturel que tout anim effectue sans se poser de questions (ou alors, si on se pose des questions, c'est qu'on doute de soi...). N'écoutez pas les pseudo-recommandations qui voudraient qu'on approche même plus les enfants... A ce rythme-là, on devra bientôt faire de l'animation en combinaison intégrale avec des enfants-bulles... :D :(

Pour info, la DDJS 35, dans ses instructions départementales, présente l'exercice d'évacuation incendie comme obligatoire. Il est à effectuer lors du premier jour du séjour.

Encore quelques heures et je prends la route direction Montfort-sur-Meu, en Ille-et-Vilaine, pour une colo avec des 7-13 ans, en tant que directeur adjoint ! Comme vous, j'ai trop hâte et je tiens plus en place :D J'installerai tout le matos pendant 2 jours avec mes collègues avant l'arrivée des enfants dimanche. Autant dire que c'est tout proche ! Dans quelques heures, ce sera... - "Bastien y m'a traité" - "J'arrive pas à dormir" - "Quand est-ce qu'on s'arrête, j'ai envie de faire pipi" - "Les boutons de moustique y m'grattent de trop" - "Mes parents m'manquent" - "J'ai plus de slips propres" - "J'aime pas les haricots verts" - etc... Tout un programme ! :D Bonnes colos à tous... et une pensée pour ceux qui sont privés d'animation cet été !

Dans le même genre de système, tu as l'alarme à détecteur infra-rouge qui fonctionne dans une pièce A et sonne dans une pièce B (par ex, la chambre d'un anim). Ca permet d'éviter de réveiller tout le centre quand un pov' petit de 7 ans s'est gourré de chemin pour aller aux toilettes :)

Si je ne fais pas d'erreur, ce système téléphonique est payant pour les parents (0,34€/min) : ça me gêne de les faire banquer uniquement pour donner quelques nouvelles... Le système plus simple, c'est d'enregistrer un message quotidien sur le répondeur du centre : comme ça, quand le téléphone est occupé ou que le directeur est absent de son bureau, les parents peuvent quand même avoir des nouvelles fraîches.

Tu peux demander à l'organisateur de te fournir avant le début du séjour les fiches sanitaires, de façon à pouvoir repérer à l'avance les enfants qui suivent un traitement lourd ou qui ont une maladie spécifique. N'hésite pas à appeler les parents pour demander des compléments, ils seront ravis de pouvoir te conseiller et ça les rassurera de voir qu'on s'intéresse à leur enfant. Pour ce qui est de tes craintes de ne pas assurer, n'oublie pas qu'un AS ne se substitue pas à un médecin : si tu as un doute, n'hésite pas à appeler un toubib ou un pharmacien, ils pourront te conseiller utilement. Ca ne sert à rien de jouer les apprentis chimistes pour soigner les enfants si on ne sait pas ce qu'ils ont ! :D ...

Salut ! Faire un journal, ça offre plein de possibilités. Le souci, c'est que ce projet peut complètement foirer... comme il peut se révéler génial. Les expériences dont parle Jérôme en témoignent. Avant de parler des moyens pour réaliser un journal, on peut déjà se demander qui va le faire et ce qu'on va y mettre. Le mieux, c'est effectivement de faire participer les enfants, aidés d'un ou plusieurs anims, même si ça demande un gros boulot. Quant au contenu, on peut essayer de définir des rubriques à l'avance mais c'est préférable de laisser une marge de manoeuvre : si les enfants demandent la création d'une rubrique au cours de tes 3 semaines, il faut pouvoir s'adapter. Il faut que tu réfléchisses également au temps que tu vas pouvoir consacrer chaque jour à la rédaction du journal. Suivant le temps, tu pourras mettre des projets plus ou moins ambitieux en place. Attention : le risque, c'est de voir trop grand Concernant le contenu, tout est possible. Le piège classique, c'est de tourner en rond en faisant un résumé des activités effectuées la veille : ça n'a aucun intérêt, les gamins ont tous fait la même activité, inutile de la leur raconter ! Ce qui est intéressant, c'est d'apporter un véritable plus. Exemple : tes gamins font une journée au kayak avec un intervenant pro. C'est l'occasion de faire une interview de l'intervenant en fin d'activité pour connaître son parcours, pourquoi il fait du kayak, etc. Ca permet de susciter la curiosité des enfants et de voir un peu plus loin que le simple côté "consommation" des activités. Toujours côté contenu, pense à utiliser le journal comme un moyen de relier les gamins : ils sont tous lecteurs et forment une communauté. Tu peux donc te servir du journal pour souder le groupe. Ce qui est intéressant, c'est que les enfants échangent entre eux après avoir lu le journal : il faut pouvoir susciter des débats sur la vie du groupe. On peut tout à fait imaginer que tu laisses une page "tribune libre" dans le journal où les enfants pourront écrire ce qu'ils veulent sur le fonctionnement de la colo : ça peut être très instructif pour les anims et aussi pour les enfants (à moins que ça vire en défouloir, ce qui n'est pas le but). En ce qui concerne la mise en page du journal, je te conseille d'utiliser Publisher qui permet de faire une présentation soignée à moindre coût (oublie Word, il est trop basique). Si tu veux faire dans le top du top, tu peux utiliser Adobe Indesign ou QuarkXpress mais ça demande une petite formation avant ! Suivant le nombre de postes informatiques dont tu disposes, soit tu feras la mise en page seule, soit tu associeras les enfants. Tout dépend si dans ce projet, tu comptes initier les enfants au multimédia... (mais n'oublie pas : le temps passe vite !) Il faut aussi que tu songes à la distribution du magazine : où ça se fera ? est-ce qu'il y aura un exemplaire par enfant ? à quel moment de la journée sera-t-il distribué ? Cet été, le journal de ma colo sera disponible tous les matins à partir de 8h à l'entrée du réfectoire, de façon à ce que les enfants puissent le lire en prenant leur p'tit déj. On fabriquera une sorte de petit kiosque dans lequel les enfants se serviront. Mais tu peux prévoir aussi d'autres modes de distribution : "à l'ancienne" en distribuant le journal à la criée ; sur abonnement (les enfants remplissent un mini-formulaire d'inscription en début de séjour et reçoivent tous les matins le journal sous la porte de leur chambre). Voilà, ce ne sont que des idées jetées en vrac, il y a pleins d'autres possibilités encore. Pour booster les gamins au début, n'hésite pas à mettre à leur disposition des exemplaires de journaux (un quotidien, un magazine généraliste hebdomadaire, un magazine de presse spécialisée, etc), ceci afin qu'ils puisent des idées et qu'ils s'imprègnent de la façon dont est structuré un journal.

Attends Cassou, je comprends pas : les enfants des familles qui ne fournissent pas le shampooing anti-poux, vous en faites quoi ? Ils ne sont pas traités eux aussi ??? J'espère qu'ils le sont, et dans ce cas, c'est normal que ton centre ait au moins un flacon en stock (au passage, un même flacon peut servir pour plusieurs gamins). En ce qui concerne ton centre à but non lucratif, ça n'a rien à voir : une association à but non lucratif s'engage à promouvoir des loisirs (sports, culture...), une cause humanitaire ou sociale, etc. Elle peut faire des bénéfices mais ceux-ci doivent être réinvestis. Donc que ton centre soit ou non à but lucratif, tu as quand même le droit (et le devoir professionnel) de fournir du shamppoing aux enfants :D