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Quentin

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Tout ce qui a été posté par Quentin

  1. Une histoire qui m'est restée en travers de la gorge il y a trois ans : Un père m'annonce au téléphone avoir envoyé à son fils, en séjour en colo, un colis pour son anniversaire, prévu dans 48h. Cependant, le jour J, La Poste n'amène rien. Je préviens aussitôt l'enfant que ses parents ont bien pensé à lui et qu'il devrait recevoir quelque chose très vite... Mais rien le lendemain. Deux jours après, coup de fil furieux du père : le colis aurait bien été réceptionné, il en a la preuve via le numéro de suivi. Enquête en interne : aucun colis n'a été réceptionné par l'équipe d'animation ou de service dans les dernières 72h. Je rappelle le père et lui explique que le colis est introuvable. Le père m'incendie : le colis viendrait de Turquie et aurait beaucoup de valeur. Je tente de calmer le jeu et demande qu'il fasse ouvrir une enquête par La Poste. Le lendemain, un fax tombe dans mon bureau : il s'agit d'une copie de l'accusé de réception, avec la signature de la personne qui a reçu le colis, au nom bien lisible mais qui n'est pas celui d'un membre de l'équipe. Le dernier jour du séjour, le propriétaire du centre arrive la bouche en coeur : "Ah dites, vous m'aviez bien parlé d'un colis l'autre jour ? En fait, je l'ai reçu, je ne m'en souvenais plus"... On tend le colis au gamin qui allait monter dans le car. Censé être parti de Turquie, il avait en fait été posté de la région parisienne. Et censé contenir des choses de valeur, il était finalement rempli de bonbons...
  2. Les menaces directes pèsent effectivement sur les enseignants détachés, qu'ils assurent la direction d'un centre de classes de découvertes, qu'ils coordonnent le sport scolaire, etc. Mais au-delà, ce sont aussi les animateurs qui vont être touchés. Je prends l'exemple du centre de classes découvertes où je travaille actuellement, ça me semble parlant. Mon collègue enseignant a son emploi financé conjointement par la structure employeur et par l'Education Nationale. Il s'occupe du volet pédagogique des séjours : élaboration du projet avec les enseignants, réservations de visites mais il intervient aussi face aux élèves, au même titre que moi. Si l'Education Nationale ne versait plus sa part du salaire, il faudrait trouver environ 25000 euros par d'autres moyens. Augmenter le prix des séjours ? Mais alors comment fait-on pour rester fidèle à notre mission d'accueillir tous les enfants en séjour, quelle que soit leur origine sociale ? Je ne compte plus les enfants de CM2 qui, grâce aux classes découvertes, partent pour la première fois de chez eux. Certains n'ont jamais quitté la commune où ils habitent ne serait-ce qu'une journée. J'estime que le prix payé par les familles est déjà assez élevé (de 30 à 45 euros/jour/enfant en moyenne, hors dispositifs d'aides, qui sont très variables suivant les mairies et les conseils généraux), inutile de l'augmenter. Rogner sur les prestations ? C'est vrai, on pourrait virer la cuisinère à temps plein dans notre centre pour passer un contrat avec une société de restauration qui livrerait en liaison chaude, ce qui nous permettrait en plus de ne plus avoir besoin d'entretenir notre matériel de cuisine. Mais la qualité ne sera pas la même, sauf à demander une prestation haut de gamme (mais dans ce cas, l'opération financière serait blanche)... Et diminuer un peu les prestations éducatives ? Tiens, nous qui faisons du multimédia, on pourrait mettre 3 enfants par ordinateur au lieu d'un, on économiserait du matos ! L'intérêt n'en sera plus tout à fait le même... Et je peux vous assurer que ce n'est pas faute d'avoir déjà réduit certaines choses : nouveau contrat avec une blanchisserie pour payer moins, amélioration de la chaudière pour diminuer les charges, travaux effectués par nous-mêmes au lieu de passer par une entreprise, etc. Bref, on le voit, ce n'est pas facile de compenser cette perte financière. Nous sommes déjà ric-rac au niveau de nos budgets, justement parce qu'on essaie d'être le plus accessible financièrement parlant. Avec la désengagement de l'Education Nationale, les centres de classes de découvertes sont directement menacés... Et la casse fera mal. Car dans chaque centre, en plus de l'enseignant détaché, il y a de nombreuses personnes qui vivent directement de l'activité avec les élèves. Dans le centre où je travaille, si l'emploi de mon collègue n'est plus financé, 5 personnes seront virées : la cuisinière, deux agents de service, un factotum et mon emploi d'animateur. Il me semblait pourtant que notre gouvernement se faisait fort de lutter contre la hausse du chômage... Pourtant, c'est lui qui risque de mettre cinq personnes à la porte !
  3. Certes, les menaces sont anciennes et revienennt de manière cyclique. Mais la surprise provient surtout du décalage entre les annonces gouvernementales et présidentielles et cette décision brutale, prise sans concertation. Darcos et Sarkozy (lors d'une visite d'un centre de vacances à Batz-sur-Mer) louaient l'éducation populaire il y a encore quelques mois avant ce virage à 180°. C'est sans doute parce que ce mode de financement est complexe qu'il n'est pas explicité dans la pétition. Lorsque tu veux mobiliser rapidement un public non averti, il vaut mieux parfois aller à l'essentiel... Dans mes souvenirs, l'Education Nationale finance des projets d'actions, menés en partie par des enseignants. Ce financement inclut une part du salaire des enseignants, qui dans ce cas sont payés par l'association. Il existe un autre statut, qu'ont souvent les directeurs de centre, où l'EN maintient leur salaire et les paie directement. Infos à vérifier toutefois par quelqu'un de compétent... Les centres permanents sont des acteurs économiques à part entière. On peut être une association et oser parler d'argent, car il en va de l'équilibre financier de la structure. Ca ne veut pas dire que l'asso cherche à faire du profit... Il me semble logique qu'une asso qui a pour but de faire partir en vacances des enfants démunis cherche à pérenniser son action, quitte à diversifier ses sources de financement. Ou alors, elle risque de mettre la clé sous la porte. C'est un calcul à court terme. Les instits sont bien plus regardants qu'on ne le croit sur le contenu des activités, qui souvent s'inscrit dans le projet de l'école. La question de la qualité des prestations est indissociable du retour de l'enseignant. C'est parfois justement parce que ce ne sont pas des enseignants qui sont aux manettes de ces centres que le contenu est pauvre... Sauf que derrière l'aspect gestion, il y aussi tout une partie de définition d'objectifs pédagogiques, de concertation avec les enseignants, d'élaboration de projets, de relations avec l'Inspection Académique, etc. Tu veux mettre qui à la place ? Tu fais bien de souligner ce point qui n'est pas tout à fait juste... Effectivement, si on s'emploie à déterminer les menaces qui pèsent sur l'emploi, on ne peut pas inclure les salariés saisonniers. Si l'activité s'arrête, ils ne perdront pas leur emploi vu qu'ils ne sont pas encore embauchés et qu'ils ont une activité, salariée ou étudiante, par ailleurs. Attention toutefois car ces 1080 postes saisonniers sont cités dans l'article, mais ce ne sont pas les assos qui mettent ce point en avant...
  4. C'est assez difficile, alors que ces menaces sont récentes, de mobiliser tous ces acteurs. J'imagine que beaucoup d'animateurs pro ignorent encore les risques de la décision de Darcos. La médiatisation du cas des 8 assos complémentaires (voir ci-dessous) va néanmoins permettre de sensibiliser les parents à cette question, et on peut espérer que la mobilisation sera d'autant plus forte. Info banale en ces temps de crise, la suppression de postes peut cependant avoir un écho retentissant quand on sait que les premières victimes seront les enfants (plus de périscolaire, plus de sport scolaire, etc). J'ai d'autant plus espoir que, derrière cette question de postes et de subventions, c'est tout l'équilibre financier d'un secteur qu'on remet en cause. En voulant remettre les enseignants qui dirigant les centres de classes de découvertes "devant des élèves", c'est aussi le travail d'animateurs, d'éducateurs sportifs, de secrétaires ou de cuisiniers qu'on va supprimer. Sans compter l'impact sur le tissu économique local, sachant que les colos et les classes de découverte permettent de maintenir l'emploi dans des zones rurales (voir notamment ce reportage de TF1) Avoir l'avis de jeunes qui démarrent dans l'animation ? Si tu fais référence aux anims occasionnels, il y a peu de chances qu'ils soient au courant. Les 8 assos ne sont pas les uniques employeurs des ACM : il y a aussi les mairies, les comités d'entreprises, les petites assos, les sociétés... Autant de structures qui ne sont pas touchées par cette décision, parce que leur financement ne dépend pas de l'octroi de subventions du ministère de l'EN. Pour aller plus loin sur le sujet, ce reportage de France 3 Alsace et cet article des Dernières Nouvelles d'Alsace paru hier : Menaces sur les classes vertes ? « Urgence, danger de mort ». Les associations éducatives complémentaires de l'enseignement public sont ulcérées. Le gouvernement a décidé de supprimer les postes d'enseignants mis à leur disposition et de diminuer de 25 % leurs subventions. « C'est vraiment un mouvement de déconstruction de l'école publique », proteste Joël Derrien, secrétaire général de la fédération des pupilles de l'enseignement public (PEP), une des huit associations concernées (*). « On avait placé l'enfant au centre. Tout est en train de s'effilocher au profit de la course aux résultats », renchérit Marc Wioland, trésorier de l'OCCE 68. Rien ne laissait présager une telle mesure Tous deux assistaient hier aux journées de réflexion DEL (domaine concernant l'éducation et les loisirs) organisées par les PEP au centre La Chaume, à Orbey. Ces associations travaillent depuis longtemps avec l'Éducation nationale. Elles proposent des animations scolaires et périscolaires : classes de découverte, activités culturelles et sportives, formation des enseignants, soutien scolaire, éducation à la citoyenneté... Aujourd'hui, la rupture est consommée. Le mécontentement est d'autant plus fort que rien ne laissait présager une telle mesure. En janvier, les contrats avaient été signés comme d'habitude. « Le 6 octobre, nous avons reçu un courrier de Xavier Darcos, ministre de l'Éducation nationale, annonçant une baisse de 25 % des subventions 2008 et la suppression, en septembre 2009, des aides pour financer les postes d'enseignants détachés (une vingtaine en Alsace) », explique Jean-Charles Canton, secrétaire général de la ligue d'enseignement et président de JPA. Certaines associations ne pourront plus payer ce poste et d'autres devront licencier du personnel. 209 salariés et plus de 1 000 saisonniers Les huit associations -elles se sont baptisées le G 8- veulent peser de tout leur poids dans cette décision. En Alsace, elles emploient 209 salariés et 1 080 saisonniers et comptent 206 000 adhérents. Leur budget atteint 10 millions d'euros dans le Haut-Rhin et leur chiffre d'affaires 20 millions d'euros dans le Bas-Rhin. Trois courriers ont été adressés au ministre (sans réponse) ainsi qu'aux parlementaires et aux maires de la région. Une pétition circule également au niveau national. Mise en ligne le 18 novembre, elle a déjà réuni 30 000 signatures. Michelle Freudenreich (*) CEMEA (centres d'entraînement aux méthodes d'éducation active), EEDF (éclaireuses et éclaireurs de France), l'AROEVEN (association régionale des oeuvres éducatives et de vacances de l'Éducation nationale), JPA (jeunesse de plein air), les Francas, la ligue de l'enseignement, l'OCCE (office central de coopération à l'école).
  5. Non, mais si tu savais lire entre les lignes, tu aurais compris que nous avons pris soin de prendre nos distances avec ta démarche. Le jour où tu sauras faire la distinction entre animation occasionnelle et professionnelle n'est visiblement pas encore arrivé. Dommage... Dans le genre "info évasive", on ne fait pas mieux. Quel SAV ! Très bonne idée de passer à l'oral quand on ne sait pas écrire... Le mieux serait encore de recourir à un interprète.
  6. topic a répondu à un TOF de Quentin dans Discussion générale
    Salut Tof, Un séjour de moins de trois nuits ne rentre pas dans le champ d'application de l'article R227-1 du Code de l'Action Sociale et des Familles. Par conséquent, tu n'es pas soumis au couchage séparé entre garçons et filles de plus de six ans (R227-6). Néanmoins, même si la loi ne t'oblige pas à le faire, je t'y encourage vivement...
  7. Courage, fuyons ! Tu dénonces d'un côté l'absence de réaction à cette info, mais tu refuses dans le même temps de répondre aux demandes de précisions de certains lecteurs. Tu as un côté "donneur de leçons" particulièrement désagréable, que j'avais déjà eu l'occasion de constater à la lecture d'un de tes messages que tu avais lancé pour, je cite, tester "les capacités de réaction de la communauté AnimNet". Si tu as les réponses aux sujets que tu mets sur le tapis, je ne vois pas l'intérêt de venir sur un forum. Si ce n'est pour se faire mousser en décernant les bons et les mauvais points une fois la discussion close.
  8. Si je prends l'exemple des classes de découverte : les associations complémentaires de l'école bénéficient des dotations de l'Etat, qui viennent en partie financer les postes d'enseignants détachés. A terme, si ces dotations diminuent, le salaire de l'enseignant devrait être pris en charge par l'association. Possible, mais il faudrait répercuter ces nouvelles charges salariales sur le prix de journée enfant. Sachant que les classes de découverte sont déjà coûteuses (environ 40 euros/jour/enfant hors aides) et moins fréquentées que par le passé, il y a peu de chance que les associations complémentaires prennent ce risque. Les animateurs qui interviennent comme permanents en classes de découverte pourraient donc voir leur poste supprimé si les centres s'arrêtaient. Simon, tu es le contributeur régulier d'un autre forum d'animation sous un pseudo différent et tu sais qu'AnimNet a d'abord pour vocation d'être le portail des colos, et plus généralement de l'animation occasionnelle. Les menaces qui pèsent sur les assos complémentaires touchent les animateurs qui ont une activité à l'année, et ceux-là sont moins nombreux à fréquenter le forum. Avant de parler de manque de réaction effrayant et donc de stigmatiser les AnimNautes, interroge-toi sur le public qui fréquente le site, ça t'évitera de donner des jugements à l'emporte-pièce. Par ailleurs, ce genre de propos maladroit ne peut que braquer les lecteurs du forum contre une action qui, pourtant, mérite d'être largement relayée. Enfin, le "manque de réaction" dont tu parles me paraît avoir une raison plus simple, qui est que la plate-forme de pétition mise en ligne ne date que du 17 novembre, soit il y a trois jours. Certes, les menances sont connues depuis plus d'un mois maintenant, mais hormis les lettres internes des assos complémentaires, nul ne s'en était fait l'écho. Tu déplores le manque de réaction mais tu aurais pu nous alerter bien plus tôt...
  9. Avant de te donner des pistes, interroge-toi un peu sur les points suivants : - as-tu contacté toutes les structures qui pourraient t'accueillir en stage ? - as-tu pensé à élargir ton champ de recherche géographique ? - as-tu faire relu et fait relire ta lettre de motivation ? (tant pour la formulation que l'orthographe) ? - as-tu relancé les structures auprès desquelles tu avais candidaté ? Par ailleurs, comme Jean, je ne connais pas de formations BPJEPS pour lesquelles on demande aux stagiaires d'avoir trouvé une structure avant d'y entrer. D'autant que les structures de stage doivent répondre à certains critères, qui vous seront expliqués lors du positionnement. Rien ne dit qu'un stage que tu trouverais demain pourrait être conventionné par ton organisme de formation. Il ne s'agit pas d'un handicap lors de la sélection : on évalue avant tout les candidats sur leurs compétences, leur conception de l'animation pro et leurs projets, pas sur le critère : "qui a déjà trouvé une structure d'accueil ?" Les organismes de formation reçoivent régulièrement des propositions de places en stage, c'est une fois entré en formation que tu pourras faire des recherches plus poussées.
  10. Eh, l'heure est au réchauffement climatique ! Ca n'arrivera plus ce genre de situation ! Froid ou pas, je ne vois pas trop en quoi les horaires seraient modifiés. Il s'agit plutôt de trouver des activités en intérieur... là, je vois la préparation d'une veillée feu devant la cheminée... pourquoi pas aussi une activité cuisine ? Si elle n'en a pas dans sa valise, c'est le genre d'oubli qui se répare facilement. Les centres sont généralement équipés. Sinon, on lui achète après accord de la famille, qui remboursera au retour. Outre que l'enseignant n'a pas l'air prévoyant, c'est encore le genre de choses qui s'arrangent. Des piscines en proposent en prêt ; le directeur peut aller les déposer s'ils ont été oubliés au fond d'une malle du centre...
  11. Salut Kévin, Il est possible d'encadrer des séjours de vacances comme des accueils de loisirs (ex-centres aérés) à ton stade de formation. Néanmoins, tu ne seras pas considéré comme animateur titulaire mais comme animateur stagiaire. Suivant la politique de ton employeur, cela peut avoir une incidence sur ton salaire. Quant au choix du thème d'appro, je n'ai rien à te conseiller spécifiquement, cela dépend de chacun. Je te conseille cependant d'aller vers un thème que tu ne connais pas trop, afin d'enrichir ton bagage.
  12. Salut David, Attention lorsque tu attaqueras cette partie : les animateurs même sportifs n'ont pas pour unique employeur une entreprise. Les associations sont un acteur incontournable du secteur. A moins que tu aies déjà un employeur actuel qui soit une société, mieux vaut être "généraliste" dans cette partie. Animateur sans "A" majuscule, non ? "afin d'espérer entrer..." : sois plus direct en écrivant "afin d'intégrer votre formation BPJEPS APT 2008-2009. Bon courage pour la suite !
  13. un message dans un sujet a répondu à Quentin dans Discussion générale
    Tout dépend du point de vue que l'on adopte... Il manque des précisions à ce message. Je me méfie surtout de l'expression "enfants vraiment super" qui voudrait dire que les gamins de familles aisées (car c'est bien la clientèle cible de Telligo) sont "mieux" que les autres. Et la mixité sociale, alors ?
  14. Salut Malou, Sur la forme : faire plus original, pourquoi pas, mais il faut que ce CV soit toujours le tien. Tu peux effectivement revoir la mise en page pour que les différentes rubriques et tes points forts ressortent mieux, mais ce n'est pas la peine d'ajouter des dessins ou d'autres choses dans le genre si cela ne te correspond pas. Sur le fond : en tant que directeur, j'apprécie que des expériences d'aide aux devoirs et de baby-sitting soit mentionnées car je m'en sers souvent à l'entretien. Pense néanmoins à préciser l'âge des enfants, la durée de ces expériences ainsi que leur cadre (ex : aide aux devoirs dans un cadre périscolaire ou privé ?) Puisque tu es jeune et tes expériences peu nombreuses, tu peux "remplir" davantage ton CV en mentionnant, après chaque expérience, tes acquis (cf. ce que dit Laballe au chapitre "Compétences"). C'est un plus, qui peut amener le recruteur à t'interroger dessus. Prépare-toi donc à répondre à certaines questions ! Par ailleurs, n'hésite pas à joindre sur ce forum ta lettre de motivation, car elle a souvent un rôle plus important que le CV, qui n'est qu'un résumé de ton parcours.
  15. Pierrot, l'immense majorité de ces centres sont dirigés par des enseignants mis à disposition par l'Education Nationale, pas par des BAFD. D'autre part, les classes de découverte ne permettent pas de valider un stage pratique BAFD puisque ce n'est pas une structure dépendante de Jeunesse et Sports. Enfin, il me semble que le but de ce travail est d'aiguiller des directeurs saisonniers, pas de les renseigner sur une possible professionnalisation.
  16. Salut Anne, Si j'ai bien compris, tu as engagé des dépenses sans disposer de factures, d'où le "trou" de 500 euros. Avant de te demander de te rembourser, l'organisateur t'a-t-il demandé de produire les justificatifs d'achats manquants ? Car itinérant ou pas, ton journal comptable doit mentionner le fournisseur de la dépense (par ex : "Supermarché Leclerc") : il est donc possible de remonter la trace de chaque fournisseur pour lequel il manque la facture, et de les contacter pour qu'ils t'en fournissent un double.
  17. topic a répondu à un Héloïse de Quentin dans Coups de coeur
    En classe de découvertes "vendanges", l'intervenant sensibilise un peu maladroitement les enfants aux dangers de l'abus d'alcool : "Et si vous buvez trop d'alcool, vous pouvez faire un coma..." Réponse d'Ismaël : "Hydraulique !" :P
  18. un message dans un sujet a répondu à Quentin dans Le défouloir
    Emettre des doutes sur une démarche qui paraît plus que bancale, c'est être négatif ? Quand des questions basiques ne reçoivent aucune réponse si ce n'est de dire qu'elles sont "négative", mon opinion est faite sur la pertinence de cette action...
  19. un message dans un sujet a répondu à Quentin dans Discussion générale
    Salut Maya, Je ne sais pas dans quel coin tu habites, mais la création d'une structure de loisirs se décide souvent à l'échelon intercommunal, afin de ne pas créer de déséquilibre entre une commune attractive, dotée d'un service périscolaire ou d'un accueil de loisirs, et sa voisine, qui perdrait des habitants faute de structure adéquate pour les enfants. Quand bien même tu serais à la tête d'une structure indépendante de la mairie, tu ne peux pas exclure complètement la municipalité de l'équation. Comme l'a dit Nico, la convention est souvent assortie de clauses très précises, qui ne te laissent que peu de marge de manoeuvre. Le piège, mais qui me semble difficilement évitable dans cette situation, c'est d'être dépendant que d'une seule mairie. Fatalement, elle voudra imposer ses conditions, alors que si ton organisme était partenaire de plusieurs communes, voire de d'autres structures, les décisions le concernant seraient prises de manière collégiale, d'où un contre-pouvoir possible. Quant aux locaux, je te conseille de ne jamais parler de ton bois avec ânes et chevaux à la mairie ! Il ne faut pas mélanger les terrains qui t'appartiennent avec les terrains de la municipalité. J'ignore, quand tu parles de mise à disposition de locaux, si tu penses à un bâtiment de ta commune en particulier, mais j'attire ton attention sur le fait de bien s'assurer que les locaux se prêtent à l'accueil d'enfants. On voit trop d'accueil de loisirs dotés d'une seule salle polyvalente (souvent les gymnases des communes), avec peu ou pas de terrain alentour, ni de service de restauration (d'où des repas tirés du sac du lundi au vendredi... vive l'équilibre alimentaire). Bon courage néanmoins, car c'est une initiative très intéressante !
  20. Salut, En écho à ce que dit Nico (que je salue - un peu tardivement - pour son retour sur AnimNet), il me semble important de rappeler aux stagiaires de base BAFA qu'ils ne doivent pas accepter de stage pratique sans salaire. Trop d'organisateurs jouent sur la confusion "non diplômé = non rémunéré", certains allant même jusqu'à assurer que la loi leur interdit de rémunérer les stagiaires ! Or, ne pas être majeur ni diplômé n'est pas un obstacle à la rémunération, fort heureusement. On peut hurler à raison sur les organisateurs qui se livrent à ces pratiques, mais le mieux est encore de sensibiliser les stagiaires dès la formation BAFA, pour les inciter à de ne pas opter pour de tels postes. Trop souvent, les stagiaires se satisfont du premier "oui" venu, quelles que soient les conditions salariales offertes par l'employeur. J'en conviens, il faut être courageux pour refuser une place de stage pratique, mais c'est la meilleure manière pour que stoppent les pratiques de quelques organisateurs.
  21. Salut Jéricho, Toujours difficile de commenter une situation dont on n'a qu'une seule version, même si je veux bien croire que tu es sincère. Concernant l'embauche : Tu dis ne pas avoir trouvé les réponses du directeur convaincantes... et pourtant tu t'es engagé dans cette colo. La bonne volonté est une chose, mais si tu as des doutes dès le premier contact, je ne vois pas l'intérêt de se lancer dans l'aventure. L'absence d'entretien est révélatrice du peu d'intérêt qu'a porté le directeur pour toi, et aussi pour son projet. Donner des réponses laconiques est le signe qu'il ne maîtrise pas son projet et qu'il ne voit pas la nécessité de renseigner son équipe, quand bien même une prépa est fixée avant le séjour. Rien d'anormal en revanche au fait de faire signer le contrat à l'arrivée au centre, c'est chose courante, même si ça peut faire flipper des anims. Concernant le couchage en tente : Je ne vois pas en quoi l'organisateur a été consulté pour une question aussi anodine... Tant que ta tente est située au même emplacement que les autres tentes d'anims (c'est-à-dire que tu ne vas pas t'installer dans un champ à 500 mètres du camp), je ne vois pas le problème. Concernant tes relations avec l'équipe : C'est toujours mieux de dire les choses dès le début, plutôt que de laisser le ressentiment s'installer ! En l'occurrence, quand tu sens que l'équipe n'a pas les mêmes conceptions de l'animation que toi, mieux vaut s'en tenir à une discussion sur des points généraux plutôt que de mettre sur la table le problème de l'hygiène des mains ou des trousses de secours. Je ne dis pas que c'est secondaire, mais le plus important n'était-il pas d'évoquer les problèmes de "désertion" des anims durant les pauses clope ? En bref, il vaut mieux se battre sur les sujets fondamentaux. Concernant le billet de train : Un accord verbal ne vaut rien, pas plus qu'un accord écrit. Le directeur et l'organisateur sont dans leur droit, même si le coup qu'ils t'ont fait est dur à encaisser. Concernant la suite à donner : Jeunesse et Sports n'interviendra pas pour jouer les intermédiaires, ils ont d'autres choses à faire que de courir après le remboursement d'un billet de train. Le mieux est de téléphoner directement à l'organisateur pour obtenir des explications, plutôt que de passer par l'intermédiaire du directeur. Car entre nous, il est tout à fait possible que le directeur ait pu obtenir le remboursement du billet en faisant valoir que c'est lui qui te l'avait avancé (oui, des gens comme ça, ça existe !).
  22. un message dans un sujet a répondu à Quentin dans Le bureau du dirlo
    Il est sans doute un peu tard, mais bon... La colonne Origine sert à renseigner l'intermédiaire par lequel a eu lieu l'inscription (ex : nom du CE, nom de la municipalité, inscription individuelle, etc). La ville de résidence de l'enfant est à mentionner dans la colonne Adresse.
  23. topic a répondu à un Quentin de Quentin dans Moi j'ai vu...
    Le travail de Marion Poussier, la photographe dont je parlais dans ce sujet, a été publié par Ouest-France chaque vendredi au cours de cet été. Mené dans des colos à Fouesnant, Avignon et Morlaix, son travail est également publié dans un livre : Un Eté, aux éditions Filigranes.
  24. topic a répondu à un elicechoupi de Quentin dans Forums généraux
    Requête acceptée ! Signé : Cyril Lignac
  25. Salut, Vous trouverez ci-dessous le projet pédagogique finalisé. Il tient compte de ce que nous avons décidé sur le forum tout au long de la prépa du séjour. Je vous remercie de prendre le temps de le lire avant d'arriver à Sarzeau. N'hésitez pas à me contacter si vous avez besoin d'éclaircissements sur tel ou tel point. Une version papier vous attendra à Sarzeau, que je vous remettrai samedi. Je pars dans quelques instants pour Sarzeau, sans être certain de pouvoir avoir accès à Internet... Le téléphone portable passe sans souci heureusement. Je vous appellerai pour caler complètement la première journée. A bientôt et reposez-vous bien d'ici là ! Quentin projet_peda_2008.pdf

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