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Billets posté(e)s par laballe

  1. laballe
    Les paquets de café

    Pour la trousse carambar, je ne sais pas ce qui me plait le plus: devoir les manger pour récupérer la poche et les emballages ou l'originalité de l'activité?!!!

    Daniel Picon réalise des animaux, des choses et des personnages avec des matériaux plutôt surprenants:

    Des vis et des boulons

    Des boîtes de conserve
    Pour ce matériau, il est évident que lorsque la boîte est ouverte, elle est coupante et dangereuse. Donc, ce sont les formes qu'il faut retrouver dans des objets de tous les jours. Bouteilles, boîtes de camembert...



  2. laballe
    Souvent on parle de recettes mais peu des cocktails. Il n'y a pas que la boisson mais toute la déco qui va avec: sucre sur le rebord du verre de différentes couleurs, pailles, fruits à rajouter etc... (pris sur B-recette)

    Cocktail de jus de fruits frais

    Pour 6 enfants

    Ingrédients

    1L de jus d'orange
    1 L de jus d'ananas
    un trait de grenadine
    1 kiwi
    1 fraise
    1 ananas
    Quelque feuilles de menthe.

    Préparation: 5 minutes
    Réfrigérateur : 2 heures

    Mélanger 2/3 de jus d'orange avec 1/3 de jus d'ananas et un trait de grenadine.
    Servir frais.
    Garnir avec un morceau de kiwi, de fraise, d'ananas et feuilles de menthe.

    Lait rosé à pois rouges

    Pour 4 enfants

    Ingrédients

    1 yaourt nature
    2 c. à soupe de crème fraîche liquide. 2 c. à soupe de coulis de fruits rouges 15 g de sucre vanillé.

    Préparation: 10 minutes

    Mélanger 1 yaourt nature à 2 c. à soupe de crème fraîche liquide. Ajouter 2 c. à soupe de coulis de fruits rouges et 15 g de sucre vanillé.
    Bien mélanger le tout.
    Décorer de quelques gouttes de coulis de fruits rouges.

    Le sixième sens

    Pour 4 enfants

    Ingrédients

    Jus d'ananas
    Jus de pamplemousse
    Jus d'orange
    Sirop de fraise

    Préparation: 10 minutes

    Mélanger 1/3 de jus d'ananas, 1/3 de jus de pamplemousse et 1/3 de jus d'orange.
    Verser 1 trait de sirop de fraise (ou de grenadine) dans le fond d'un verre, ajouter les jus de fruits.
    Servir frais.

    Un petit truc que je fais, je connais un peu les goûts des enfants. Je sais qu'ils aiment quand c'est sucré et quand il y a des fruits rouges et de l'orange, tout ce qui est doux. On sait que le pamplemousse prend tout le goût dans un cocktail, par exemple. Alors, il me semble aussi intéressant d'en créer avec les enfants, en variant les quantités utilisées et les jus et sirops proposés.
  3. laballe
    Salut à tous,

    Nouveau thème que j'aborde, ce sont les expériences chimiques. Toujours très intéressantes à mener, les expériences ont un aspect pratique et technique que j'aime. Les enfants testent et peuvent faire des hypothèses puis les verifier. c'est très enrichissant (expérience prise sur tête à modeler)

    Éteindre une flamme avec gaz carbonique

    Expérience simple sur la chimie de base. Profitez de l'occasion pour expliquer à votre enfant que le feu a besoin d'oxygène et que le gaz carbonique dégagé par l'expérience chimique absorbe l'oxygène.

    Les apports de l'activité

    Réaliser une expérience simple
    S'initier à la chimie de base
    Comprendre des réactions chimiques simples
    Comprendre le principe d'alimentation du feu
    Comprendre comment fonctionne les extincteurs
    Développer son sens de l'observation et son goût pour les expériences

    Fournitures

    Un plat en verre ou un grand bol
    De la levure chimique (un sachet de levure chimique pour gâteau)
    Du vinaigre d'alcool
    Une bougie de chauffe-plat
    Des allumettes

    Réalisation sur la flamme et l'oxygène

    Cette expérience très simple permet à l'enfant de comprendre comment se crée une réaction chimique. C'est un moyen simple pour lui expliquer comment fonctionnent les extincteurs. Profitez de l'occasion pour expliquer à votre enfant que le feu a besoin d'oxygène et que le gaz carbonique dégagé par l'expérience chimique absorbe l'oxygène.

    Demandez à votre enfant de :
    Placer la bougie de chauffe-plat au fond du récipient en verre.

    Verser la levure chimique dans le récipient en verre tout autour de la bougie sans la recouvrir.

    Aidez-le à allumer la bougie et laissez-le constater comme elle brûle bien.

    Demandez-lui d'ajouter une cuillère à soupe de vinaigre sur la levure, d'observer et de décrire ce qui se passe. En cas de besoin, il peut ajouter d'autres cuillerées de vinaigre.

    Allumez d'autres allumettes et faites-lui constater que l'allumette s'éteint dès qu'elle approche de la mousse créée par la réaction chimique.

    Expliquez-lui que les extincteurs fonctionnent sur le même principe.
    Vous pouvez attendre que le gaz carbonique soit totalement dissipé pour lui montrer que la bougie peut à nouveau être allumée.
  4. laballe
    (Vu sur Dis pourquoi papa)

    Ingrédients :1 verre de farine, 1/2 verre de sel fin, 1/2 verre de maïzena, 2 cuillères à soupe d'huile de tournesol, 1 verre d'eau, colorants alimentaires

    Préparation :

    Dans un saladier, mélangez la farine, le sel et la maïzena à l'aide d'une Cuillère en bois.
    Dans un petit bol, diluez quelques gouttes de colorant avec l'eau, puis versez cette eau colorée dans le saladier. Mélangez bien la préparation. Ajoutez l'huile, et bien mélanger.
    Faire cuire le tout dans une casserole, à feu très doux, et sans cesser de tourner. Stoppez la cuisson lorsque vous avez du mal à tourner la cuillère. Laissez refroidir la préparation.

    Conseils :

    Reproduire l'ensemble de l'opération avec tous les colorants alimentaires. Vous pouvez également faire des mélanges de colorants.

    La pâte se conserve quelques mois dans un récipient hermétiquement fermé.
  5. laballe
    Salut à tous,

    Nouvelle rubrique sur ce que vous pouvez visiter et voir en Alsace lorsque vous êtes avec des enfants, en centres ou en famille.

    Je donne ce lien où les fêtes sont répertoriées par mois.

    à plus
  6. laballe
    Salut, une idée géniale pour des goûters, très facile à mettre en place et délicieux, vous faîtes des petits groupes pour préparer les différentes tartines et ensuite, dégustation tous ensemble. Un tableau peut être mis en place avec ce que les enfants ont le plus aimé et un livret avec les recettes peut être fait pour chacun d'eux. Attention, le budget est un peu élevé car certains ingrédients sont chers.

    LES TARTINES

    - Pain + beurre + sucre vanillé
    - Pain + beurre + chocolat râpé
    - Pain + confiture de fraises + quelques amandes effilées
    - Pain + confiture d'abricots + quelques amandes mondées
    - Pain + confiture de prunes + quelques cerneaux de noix
    - Pain + confiture de myrtilles + quelques pignons de pin
    - Pain + beurre + lamelles d'emmenthal ou de comté + confiture d'oranges
    - Pain + beurre + noix de coco râpée mêlée de sucre vanillé
    - Pain de campagne + beurre + raisins secs
    - Pain + beurre + céréales sucrées émiettées
    - Pain + beurre + noisettes concassées
    - Pain de campagne + beurre + pâtes de fruits coupées en lamelles

    Les tartines grillées

    - Pain grillé + gelée de groseilles + noix de coco râpée
    - Pain grillé + beurre + cacao sucré
    - Pain brioché grillé + confiture
    - Pain grillé + beurre + grains de raisin coupés en 2 saupoudrés de sucre vanillé
    - Pain grillé + beurre + dattes dénoyautées hachées
    - Pain de mie grillé + petit suisse malaxé avec 1 cuillerée à café de crème de marrons vanillée
    - Pain de mie grillé + petit suisse malaxé avec 1 cuillerée à café de crème de pruneaux
    - Pain brioché grillé + lemon curd (pâte de citron) + amandes effilées


    Les tartines rôties (à passer au four 2 à 3 minutes juste sous le grill)

    - Pain de campagne + beurre + cassonade
    - Pain de campagne + beurre + vergeoise
    - Pain de campagne + beurre + copeaux de chocolat
    - Pain de campagne + beurre + rondelles de banane légèrement citronnées + sucre vanillé
    - Pain de campagne + beurre + amandes effilées poudrées de sucre vanillé
  7. laballe
    Puisque nous approchons dangereusement de la fête des morts, j'ai trouvé cette histoire expliquant son origine:

    Halloween

    Le mot Halloween vient de l’Anglais « All Hallow Eve », qui désigne la veille de la fête des Saints, ou la veille de la Toussaint.

    A l’origine, Halloween était une fête celte druidique qui célébrait la nouvelle année. En effet, chez les Celtes en général et chez les Gaulois en particulier, la veille du nouvel an se célébrait le 31 octobre. La nuit de Halloween est réputée propice aux esprits malins car, selon la légende, c’est à ce moment que les fantômes des morts rendaient visite aux vivants. Pour apaiser les esprits, les villageois plaçaient devant les portes et les fenêtres des citrouilles grimaçantes et évidées. On les appelle aujourd’hui les « Jack’o lantern » car une bougie les éclaire de l’intérieur.
    Une légende irlandaise raconte que Jack a été chassé du Paradis et de l’Enfer et qu’il est condamné à errer sur la Terre en s’éclairant avec sa lanterne, creusée dans une citrouille, une betterave ou un navet.

    A l’époque des Celtes, des fêtes étaient organisées pendant deux semaines en l’honneur des proches disparus venus spécialement de l’au-delà. On faisait alors de grands feux afin d’éloigner les mauvais esprits qui accompagnaient ces êtres disparus. Puis les druides enflammaient des branches de chênes sacrés destinées à protéger chaque foyer durant l’année.
    Le maquillage et les costumes, de préférence épouvantables, permettaient de s’assurer que les mauvais esprits s’en aillent.

    Halloween en Europe

    Cette coutume va se répandre largement en Irlande, en Ecosse, au Pays de Galle puis aux Etats-Unis, où , Halloween devient une fête nationale à la fin du XIXe siècle. Elle a fait un éphémère retour en France à la fin du XXe siècle.

    Cette période de la Toussaint voit fêter les morts dans toute la chrétienté, mais certains pays la célèbrent dans la joie :
    - En Sicile et dans toute l’Italie du Sud, les enfants découvrent sous leur oreiller les présents apportés par les défunts de la famille.
    - En Espagne, le jour de la Toussaint, on mange des beignets appelés pour la circonstance « Huesos de Santos », les "os des Saints".
    Dans le monde slave, dans les Balkans, le culte des morts est encore souvent accompagné de la consommation d’un gâteau rituel.
    - A Namur, en Belgique, une crêpe spéciale est réservée au jour des morts.
    - Et en France, il n’y a pas si longtemps, « le pain des âmes » en Bretagne et les « salviate » en Corse se rattachaient à la même tradition.

  8. laballe
    L'EAU

    Tout d'abord, l'eau est puisée dans la nature par des usines (usine de captage pour les nappes phréatiques, usine de pompage dans les rivières). Ensuite, elle est stockée en attendant d'être utilisée. Une fois utilisée et salie, elle part dans les égouts jusqu'à une station d'épuration pour être nettoyée (on dit aussi dépolluée). Après son nettoyage, l'eau est rejetée dans la nature et repart dans le cycle de l'eau avec les eaux de ruissellement pendant 100 ans ou même 1000 ans

    Le forage

    La technique employée, pour récupérer l'eau souterraine dans la nappe phréatique, s'appelle le forage. Le principe est très simple. On enfonce un tuyau dans le sol jusqu'à la nappe phréatique. Comme un doigt appuyant sur une grosse éponge, le tuyau traverse la craie dans laquelle l'eau est emprisonnée. Le bout du tuyau est percé de trous dans lesquels l'eau peut entrer. Il ne reste plus qu'à aspirer ou pomper l'eau, comme on le ferait avec une grosse paille, mais bien sûr ce sont des machines (les pompes) qui s'en chargent...

    Les sels minéraux

    L'eau, en s'infiltrant dans le sol, a traversé des roches. Pendant ce voyage, l'eau a récupéré de minuscules morceaux de roches invisibles à l'oeil nu car dissous dans l'eau. On les appelle des sels minéraux. Les sels minéraux issus de la craie sont appelés CALCIUM (eh oui ! Le même que dans le lait). Le calcium est très bon pour la santé, il permet de consolider nos os. Certains confondent le calcium et le calcaire. En réalité, craie, calcaire et calcium sont trois noms différents pour une même chose. Seule la forme, sous laquelle on trouve cet élément, a donné naissance à des noms différents. En effet, lorsque l'on fait chauffer à plus de 55 degrés une eau contenant du calcium, les petits grains se collent les uns aux autres pour former des plus gros grains collant aux parois du récipient contenant l'eau chaude (casserole, chaudière, tuyaux...). On appelle cela du calcaire. Le calcaire n'est pas plus dangereux que le calcium pour la santé, puisqu'il s'agit de la même chose. De plus, notre corps étant à une température de 37.5 degrés, nous n'aurons du calcaire dans notre corps, car notre température dépassera jamais les 55 degrés. Mais il n'y a pas que le calcium dans l'eau du sous-sol. On retrouve également d'autres éléments comme le FER, qui n'est pas mauvais pour la santé. Cependant, le fer ne doit pas être en trop grande quantité dans l'eau. En effet, le fer au contact de l'eau et de l'air se transforme en rouille. Quand l'eau contient trop de fer, elle peut prendre la couleur et le goût de la rouille. C'est pourquoi, le fer sera enlevé dans les usines de traitement, avant que l'eau arrive à ton robinet.

    La déférisation

    Première étape, on aère l'eau en lui faisant faire des cascades. Au contact de l'air, les sels de fer forment des plus gros morceaux de rouille. L'eau passe ensuite dans des bassins de filtration sur sable pour être déférisée, c'est à dire pour que le fer soit enlevé.

    Le bassin de filtration

    Dans ce bassin, l'eau traverse un lit de sable d'environ 1 m d'épaisseur reposant sur un faux-plancher. L'eau est ainsi tamisée par le sable qui retient les sels de fer indésirables. Mais les sels de calcium, plus petits, passent avec l'eau à travers le sable. A la sortie du bassin de filtration, l'eau est déférisée mais n'a pas perdu le calcium indispensable à l'équilibre de ton organisme.

    Le chlore

    A la sortie du bassin de filtration sur sable, l'eau n'est pas encore potable. Pour la protéger des bactéries, on ajoute un peu de chlore. Dans les tuyaux d'eau du robinet, on met donc une goutte de chlore pour 1000 litres d'eau (l'équivalent d'environ 7 baignoires). C'est suffisant pour protéger l'eau durant son voyage jusqu'à ton robinet.

    Le chlore peut parfois donner une odeur désagréable à l'eau du robinet. Dans l'eau du robinet, il est présent sous forme de gaz. Voici un petit truc pour s'en débarrasser. Si on place l'eau dans une carafe ou une bouteille de verre au bas du réfrigérateur pour ne la boire qu'une heure plus tard, le gaz se sera échappé comme pour une bouteille de soda qu'on aurait laissé ouverte...

    Le pompage des eaux de surface

    L'eau de la nappe phréatique n'est pas toujours une ressource suffisante. Les eaux de surface (par exemple la rivière) sont toujours plus exposées aux pollutions que les eaux souterraines. Il faut donc utiliser plus de techniques pour la rendre potable. Voici les différentes étapes utilisées pour rendre l'eau potable:

    On commence donc par le dégrillage où l'eau passe à travers des grilles qui retiennent les gros déchets: les branches et les feuilles par exemple.
    Vient ensuite la décantation ce qui veut dire laisser l'eau reposer dans un bassin. Les déchets les plus lourds tombent dans le fond, il ne reste plus qu'à récupérer l'eau à la surface.
    L'eau passe ensuite dans des bassins de filtration identiques à ceux des usines traitant les eaux souterraines. Cela permet de retenir les plus petits déchets.
    Pour les éliminer les microbes, on utilise ensuite un gaz, l'ozone, fabriqué dans ces cuves à partir de l'air que nous respirons. L'ozone détruisant tous les éléments vivants dans l'eau, l'eau est désormais potable.
    Comme pour l'eau puisée dans la nappe souterraine, on ajoute alors du chlore pour protéger l'eau durant son trajet dans les tuyaux jusqu'à votre robinet.

    Les châteaux d'eau

    Le problème principal des châteaux d'eau est qu'ils ne peuvent pas contenir une très grande quantité d'eau. Pour stocker l'eau nécessaire à une ville entière, il faudrait un château d'eau à chaque coin de rue. Cela demanderait trop de place aussi utilise-t-on, en plus des châteaux d'eau, de grandes réserves.Mais pourquoi donc mettre l'eau en hauteur me direz-vous ? C'est très simple, cela permet de donner naturellement une force à l'eau. On appelle cela : la pression.

    La pression

    L'eau, lorsqu'elle descend du château d'eau jusque dans les tuyaux, va prendre de la vitesse. Cette vitesse lui permet, comme une petite voiture dans un circuit avec des loopings, de remonter ensuite jusqu'aux étages des maisons et des immeubles, à travers les tuyaux des habitations. Cette force de l'eau dans les tuyaux est appelée la pression. Elle est naturelle et évite de devoir utiliser des pompes et de l'électricité pour envoyer l'eau dans les tuyaux.

    Les réservoirs

    De l'extérieur, ils ont également des formes diverses. Ayant été construits, pour la plupart, dans les années 1900, ils sont souvent en brique et rappellent un peu les fortifications des châteaux forts du Moyen Age. Ces murs ne servent qu'à abriter les systèmes de pompes (pas de hauteur, donc pas de pression naturelle), car la partie principale des réservoirs avec l'eau se trouve sous le sol. Comme les châteaux d'eau, ils se remplissent et se vident chaque jour. L'eau peut maintenant arriver à votre robinet à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit. Nous utilisons beaucoup d'eau chaque jour pour toutes sortes de choses.

    La consommation

    Chaque jour, nous utilisons de l'eau pour nous laver, faire la lessive et la cuisine... La consommation moyenne par jour est entre 120 et 150 litres par personne. En France, nous avons des ressources naturelles abondantes qui nous permettent d'avoir suffisamment d'eau mais tous les pays n'ont pas cette chance. Pour que tous puissent avoir de l'eau au robinet, il faut apprendre à préserver l'eau et à ne pas la gaspiller.

    L’eau utilisée tous les jours :

    1) le bain : une baignoire contient en moyenne 150 litres d'eau.
    2) la douche : quand tu prends une douche pendant 5 minutes, tu consommes en moyenne 60 litres d'eau
    3) la chasse d’eau : à chaque fois que tu tires la chasse d'eau, tu utilises entre 6 et 10 litres d'eau.
    4) le repas : on consomme en moyenne 10 à 20 litres d'eau par repas : à table pour la boisson, pour cuire les pâtes, le riz ou les pommes de terre...
    5) la vaisselle : 15 litres d'eau sont nécessaires pour une vaisselle à la main. Le lave-vaisselle utilise entre 40 et 60 litres d'eau à chaque utilisation.
    6) la lessive : la machine à laver le linge consomme entre 40 et 80 litres d'eau à chaque lavage. 7) la voiture : pour ne pas gaspiller l'eau, il est préférable de laver sa voiture avec un seau et une éponge (50 litres en moyenne) plutôt qu'au jet d'eau (200 litres en moyenne).

    Consommation sur les autres continents

    L'Afrique : les ressources naturelles sont moins importantes. La consommation moyenne est de 50 litres par personne. Dans certains pays, les habitants ont moins de 10 litres d'eau par jour et doivent aller la chercher au puits.
    Les Etats-Unis : les ressources en eau sont importantes. Les Américains utilisent beaucoup d'eau, plus de 300 litres par jour.

    Les conseils pour économiser l’eau

    1)Prends une douche plutôt qu'un bain, pour consommer moins d'eau.
    2)Ne laisse pas l'eau du robinet couler, quand tu te laves les dents par exemple.
    3)Arrose ton jardin le matin ou le soir, plutôt qu'en plein soleil. Ainsi, l'eau s'évaporera moins rapidement.
    4)Demande à tes parents de laver la voiture dans une station. Elles sont équipées de systèmes qui filtrent et recyclent l'eau pour l'économiser.
    5)Appelle le plombier quand tu vois une fuite d'eau. Un robinet, qui est mal fermé ou qui fuit, c'est 5 litres d'eau perdus par heure. Si on ne répare pas, c'est 150 litres à la fin du mois et 1800 litres à la fin de l'année..

  9. laballe
    Autre lieu que j'adore, cet écomusée (voir le blog aussi) est un village alsacien. Ce sont des maisons de toute la région, qui ont été démontées et remontées à Ungersheim.

    Je l'ai visité plusieurs fois en tant que particulière. Le temps s'est arrêté et la vie d'autrefois a repris ces droits.

    Les activités proposées sont variées d'une année à l'autre, les intervenants connaissent bien leur boulot, n'hésitent pas à discuter avec les visiteurs et à répondre aux questions.

    Attention le village est grand. Organisez-vous bien si vous y allez avec des petits. Les parkings sont adaptés et à l'ombre. Il y a des bancs pour se reposer.

    Vraiment à visiter!!!
  10. laballe
    La Saint Nicolas

    La fête de Saint Nicolas, le 6 décembre, est indéniablement la fête la plus populaire de Lorraine. Aujourd’hui, tandis que Saint Nicolas et son inséparable compagnon, le « Père Fouettard » passent dans les écoles récompenser les enfants sages, toutes les communes de la région rivalisent pour organiser des défilés de chars plus nombreux et plus beaux chaque année.

    C’est ainsi qu’au fil du temps s’est peu à peu transformée en fête laïque et urbaine la fête religieuse qui portait haut le culte du Saint Patron de la Lorraine vénéré depuis le Moyen Age. La ferveur religieuse a persisté jusqu’aux premières décennies du XXe siècle. En Moselle par exemple, avant 1914, on assistait encore à une messe pendant laquelle étaient bénis des gâteaux distribués aux enfants.

    Friandises, pains d'épices... et bottes de foin !

    Le soir de la Vigile de sa fête, accompagné du Père Fouettard, Saint Nicolas descendait du ciel et visitait les enfants.
    Il écoutait leurs prières, encourageant les uns, sermonnant les autres, et distribuait des friandises : noix, noisettes, pommes, mirabelles et quetsches séchées. Plus tard sont venus les oranges, les pains d’épices en forme de Saint Nicolas et de bourrique.
    Pendant la nuit, il garnissait les souliers placés devant l’âtre. Les enfants qui avaient quelque chose à se reprocher plaçaient une botte de foin et une écuelle d’avoine pour la bourrique.

    La bûche au feu

    Un gâteau traditionnel, que la mode invite à servir glacé, voilà ce qu'est devenue, pour les gourmands d'aujourd'hui, la bûche de Noël. Certes, son écorce en glaçage (la couleur informe sur l'arôme employé) et le petit peuple de gnomes, de pères Noël et de champignons en pâte d'amande qui la décorent amorcent une évocation des antiques coutumes. Mais on les croque en pensant à autre chose, et le souvenir de la bûche d'autrefois, quand elle était tronc d'arbre flambant dans la cheminée, se dilue de plus en plus dans les brumes de folklore. Pourtant, quelle importance elle avait...

    De quel bois noël se chauffe

    Pour faire une bonne bûche de Noël, il ne s'agissait pas de prendre n'importe quel bois ! Exigence générale : il fallait un bois très dur, afin que la bûche brûle le plus longtemps possible ! Ce pouvait être un tronc de chêne - si possible un chêne n'ayant jamais subi d'élagage - de buis, d'aubépine blanche ou encore un pied de sapin renversé par la foudre. Mais la préférence allait à l'arbre fruitier qui était choisi parmi les productions régionales : olivier en Provence, noyer en Auvergne, châtaignier en Limousin, pommier ou cerisier ailleurs, ou encore arbre ne donnant que des fruits à pépins, ou arbre fruitier mort dans l'année.
    Il y avait des exigences aussi quant à la manière de se procurer la bûche. Quelquefois, il fallait la quérir sur la terre du voisin sans qu'il le sache (Vendée). Le plus souvent, il fallait la rapporter à la maison la nuit précédent la nuit de Noël. Plus simplement on la choisissait parmi les plus belles et les plus grosses, dans le bûcher et on la transportait jusqu'à la maison, en grande cérémonie.

    Les rites de l'allumage

    La bûche choisie, il ne s'agissait pas de la mettre au feu n'importe comment. D'abord, et presque partout, un nettoyage soigneux de l'âtre et un ramonage s'imposaient.
    Avant l'allumage, on procédait à la bénédiction de la bûche, soit avec de l'eau bénite, soit avec du vin, blanc ou rouge, ou du vin cuit, ou du marc, ou de l'huile d'olive. On ajoutait parfois du pain et du sel.
    On demandait aussi à la bûche de réchauffer toute l'année les pieds des orphelins, des infirmes et des vieillards, mais de ne pas brûler les récoltes du paysan ou la barque du marin.
    Ces rites accomplis, on pouvait mettre le feu à la bûche. Pour cela, on utilisait un brandon allumé à un cierge de l'église ou encore un vieux tison de la bûche du Noël précédent... Pour que le feu exorcise l'année écoulée, en brûlant, symboliquement tout ce qu'elle avait eu de mauvais, chaque membre de la famille jetait dans le foyer une bûchette qui le représentait (Languedoc) ou une feuille de laurier (Corse).
    En d'autres endroits, il fallait une étincelle "vierge" pour allumer le feu nouveau. On la prenait au feu du soleil dans la journée, à l'aide d'un miroir convexe, ou on l'obtenait en frottant deux morceaux de bois l'un contre l'autre.

    Tandis que brûlait la bûche

    Il ne fallait pas que la bûche s’éteigne. Une bûche qui s'éteignait pendant la messe de minuit constituait le plus funeste des présages. Aussi, lorsqu'on l'allumait avant de se rendre à la messe, quelqu'un restait à la maison pour veiller sur le feu.
    Le temps pendant lequel devait brûler la bûche était très variable. Au minimum jusqu'à la fin du repas de réveillon, ou toute la nuit de Noël, ou trois jours (dans le Languedoc, on était ainsi assuré que les filles à marier de la maison trouveraient un époux l'année suivante). En d'autres endroits, la bûche devait brûler jusqu'au 1er Janvier ou même jusqu'à l'Épiphanie ! On étouffait donc le feu chaque soir ou on ralentissait sa combustion avec de la mousse humide.

    Les vertus de la bûche

    La bûche avait la particularité de ne pas brûler. On pouvait poser, croyait-on, des tisons rougeoyants sur la nappe du réveillon sans même qu'elle en soit roussie.
    Les tisons de la bûche étaient soigneusement recueillis, car ils préservaient de l'orage et du feu. Placés dans l'étable ou le poulailler, ils protégeaient les animaux des mauvais sorts et des maladies. Mélangées à diverses potions, les cendres guérissaient les hommes et le bétail, aidaient les femmes en couches, facilitaient la délivrance des vaches. Glissées dans les piles de linge, elles préservaient le ménage des disputes ou de la ruine. Mélangées aux grains des semailles, elles écartaient la vermine.

    De la bûche au gâteau

    Bien vivaces encore au XVIIIe siècle, ces traditions de la bûche commencèrent à disparaître à la fin du XIXe. Une disparition qui ne s'explique pas uniquement par la généralisation du charbon (de bois ou de terre) et l'apparition des cuisinières dans les âtres des cheminées. Le rationalisme scientifique et le déclin des traditions y sont aussi pour quelque chose.
    Van Gennep, célèbre folkloriste, observe que chaque fois que la bûche disparaît, elle est remplacée par un gâteau qui l'évoque. L'ancêtre de ce gâteau est peut-être la "hoche", seule "bûche" dont se souviennent les anciens, en Lorraine. Elle n'était pas de bois, mais de chocolat et de pain d'épices.
  11. laballe
    Pourquoi le goûter est important ? (informations du Centre de Recherche et d'Information Nutritionnelles)

    Pris l'après-midi et bien équilibré, il permet une meilleure répartition des apports sur la journée et s'adapte à l'évolution de nos conditions de vie (repas rapide et/ou trop calorique).

    Le goûter, la plupart du temps, pêche souvent par excès de produits sucrés :glace: au détriment des laitages. Pensez-y et inversez la tendance. Si vous n'aimez pas le lait, il suffit de le remplacer par un autre produit laitier (yaourt, fromage blanc, fromage ...) ou de l'incorporer à des préparations (riz, semoule, crème ...)

    Pour qui :

    - Pour les enfants et les adolescents, les femmes enceintes ou qui allaitent, les sportifs, les personnes âgées et tous ceux qui mangent peu à midi (mince, je ne suis dans aucune de ces catégories!!! )

    Pourquoi ?

    - Pour éviter de grignoter. (Là non plus!!!) Un quatre heures équilibré permet souvent d'éviter de craquer pour des aliments riches en calories mais pauvre en vitamines et minéraux (viennoiseries, sodas ...)

    - Pour compenser un repas trop léger ou éviter un dîner trop copieux. Ainsi, un sandwich jambon-beurre pris à 13 heures(je tiendrais jamais rien qu'avec ça!!! c'est fou!!!) il gagnera à être complété par un produit laitier et un fruit dans l'après-midi,

    - Pour répondre à des besoins accrus (croissance, grossesse ...) en énergie, calcium et protéines (plus besoin à mon âge!!!)

    - Pour ceux qui ont peu d'appétit et qui font plusieurs petits repas dans la journée (ça ne m'est jamais arrivé!!! ouf!!)

    - Pour le plaisir de partager un instant avec ses enfants (enfin, un argument qui me correspond!!!)


    Je ne sais pas vous mais j'ai toujours fait très attention aux goûters que je pouvais proposer et j'ai toujours essayé de la varier au maximum. Les enfants sont aussi de très bons conseils pour les renouveler. Je vais donc en faire une liste car ce qui m'intéresse surtout là, c'est de connaître les vôtres. J'aimerais encore varier donc je compte vraiment sur vous!!! ça ne vous prendra que quelques minutes seulement à compléter:

    -pain avec de la confiture, divers fromages, de la pâte à tartiner ou des tablettes de chocolat, pâtes de fruits, charcuterie (jambon, saucisson, merci l'Alsace!!!)
    -brioches, quatre-quarts, madeleines, pain d'épices, génoises fourrées
    -palmiers, sablés, barquettes, pépitos, BN, boudoirs, gaufrettes, kangoo, cookies, petits écoliers, petits beurres,
    -salade de fruits, compote, yaourts, crèmes desserts, glaces, petit déj avec lait, céréales et chocolat en poudre,
    -fruits selon saison,
    -eau, eau avec du sirop l'aprem, jus de fruits et coca très exceptionnellement

    Le goûter du matin comme de l'après-midi est un moment privilégié. Il dure à peu près 45 mns. Les enfants nous donnent un grand coup de main pour tout aller chercher et installer avec nous pendant que d'autres préparent. S'il faut tartiner le pain, par exemple. Ensuite, ce sont eux aussi qui nous aident à servir tout le monde. Les anim sont avec les enfants dans la mesure du possible bien sûr. C'est de l'eau qui est servie le matin et du sirop l'aprem. Un verre et ensuite c'est de l'eau. J'affiche les goûters pour la semaine afin que les anim puissent se servir sans me demander. D'ailleurs les enfants aiment souvent aller regarder pour savoir ce qu'ils vont manger!!!

    Voilà comment je le gère avec l'équipe et vous comment cela se passe? Je dois vous avouer qu'il nous est arrivé bien souvent de délirer pendant ces temps surtout l'aprem quand tout est fini et que l'heure des parents approchent.

  12. laballe
    (Vu sur Dis pourquoi papa?)
    L'indicateur coloré est un produit qui apparaît d'une couleur différente en fonction de sa présence dans un milieu acide comme le vinaigre et le citron, ou basique (ou alcalin) comme le bicarbonate de soude ou le savon. Il permet de déterminer le pH d'une solution, c'est-à-dire sa caractéristique plutôt acide ou plutôt basique.

    Composants : de l'eau, 1/2 chou rouge, Bicarbonate de soude, vinaigre

    Les produits : 3 éprouvettes, 1 feuille de papier buvard, 1 flacon, 1 paille, 1 passoire, 1 casserole

    Préparation : Coupez le demi chou rouge en petite lamelle. Faites chauffer 300 millilitres d'eau. Lorsque l'eau frémit, cessez de chauffer, y plonger les morceaux de choux rouge et attendre 1/4 d'heure. Vous devriez obtenir une eau très rouge. Lorsque l'eau est refroidie, filtrez à l'aide d'une passoire et conserver le jus dans un flacon étiqueté (attention, ça tâche !)
    Enlevez la bande de scotch

    Première expérience : Collez une étiquette sur chacune des éprouvettes : Vinaigre, eau et bicarbonate de soude
    Dans la premiere éprouvette, versez un peu de vinaigre,
    Dans la deuxième éprouvette, versez de l'eau du robinet,
    Dans la troisième éprouvette, mettre quelques pincées de bicarbonate de soude et versez de l'eau. Bouchez l'éprouvette et bien mélanger afin que la poudre soit dissoute.

    Maintenant, dans chacune des éprouvettes, vous allez mettre quelques gouttes de l'extrait de chou rouge à l'aide d'une paille. Vous devriez obtenir des couleurs différentes en fonction du milieu acide avec le vinaigre (rouge), neutre avec l'eau (violet) et alcalin avec le bicarbonate (bleu). Si vous mettez du savon, vous obtenez un milieu très alcalin (jaune)

    Deuxième expérience:

    Découpez quelques bandes de papier dans la feuille de papier buvard. Plongez-les dans l'extrait de choux rouge et laissez les sécher sur un sopalin. Une fois qu'elles sont sèches, plongez chacun d'entre-elles dans les solutions précédentes et regardez les couleurs qui apparaissent.
    A l'aide de vos languettes, vous pouvez tester ce que vous désirez comme l'eau d'une rivière, une soupe ou une boisson.

    Explications :

    Le colorant du chou rouge fait partie de la famille des anthocyanes, molécules capables d’absorber la lumière visible et de donner leur couleur à différentes plantes bleu, rouge ou rose.

    Lorsque la molécule est en présence d’un milieu acide ou basique (pH différent), celle-ci va changer de structure ou se dégrader, donnant ainsi une absorption de la lumière différente. Ainsi, la solution dans laquelle elle se trouve va changer de couleur.
  13. laballe
    salut alors ce soir, nous voyons le processus de la digestion, indispensable lorsque nous mangeons tous les bons petits plats dans les différents centres:

    LA DIGESTION

    La digestion est le processus de transformation de grosses molécules apportées par l'alimentation en molécules plus simples (appelées nutriments) qui pourront être utilisées par les cellules après être passées dans le sang.

    Etapes

    La première partie se passe dans la bouche : il faut bien mâcher ses aliments pour les imprégner de salive et les couper et les broyer avec ses dents. L'aliment passe ensuite dans l'estomac (qui est une poche située dans le haut de abdomen) en empruntant l'œsophage.

    La deuxième partie se déroule dans l'estomac. Son contenu a un pH très acide et contient beaucoup d'enzymes qui viennent du pancréas. Tout cela sert à couper les grosses molécules en molécules plus petites qui pourront ensuite être absorbées dans l'intestin grêle. Pour que les enzymes fonctionnent bien, il est indispensable de bien avoir mâché ses aliments. Sinon, une partie restera intact et sera difficilement digéré et provoquera des maux de ventre ou une lourdeur à l'estomac.

    L'estomac est entouré de muscles lisses à commande automatique (qui se contractent sans qu'on y pense). Lorsque ces muscles se contractent, il y a un brassage des aliments qui sont contenus dedans. La durée totale de la digestion dans l'estomac varie entre deux et six heures, cela dépend de la consistance et de la composition du repas.

    Ce qui sort de l'estomac et se rend vers l'intestin où il sera absorbé est appelé chyme.

    L'estomac est protégé par une couche de mucus qui tapisse ses parois pour éviter qu'il ne se digère lui-même. Parfois, cette couche protectrice disparaît en certains endroits et on peut ressentir des brûlures d'estomac. Ça peut conduire à un ulcère lorsque l'estomac saigne.

    La troisième partie est à la sortie de l'estomac, toutes les grosses molécules sont maintenant transformées en leur composant. L'intestin grêle est le lieu où ces petites molécules passent dans le sang. Tout le sang qui capte les aliments est filtré par le foie. Le foie stocke le glucose et à la sortie du foie, le sang contient la même proportion de sucre qu'avant avoir mangé. Si ce n'est pas le cas, on est diabétique.

    Le gros intestin est le lieu où l'eau des aliments est absorbée et passe dans le sang. Les déchets sortent par l'anus au cours de la selle.

  14. laballe
    Bon, je sais, c'est encore un jeu de vieux mais je pense que cela passe largement les générations. Enfin, c'est mon avis et je le partage!!!

    Je viens de découvrir qu'elles existent en tapis pour jouer à l'intérieur, on n'arrête pas le progrès!!!



    Les règles et les variantes

    Ce lien juste pour la chanson!!!

    Ensuite, comme dans tous les jeux, vous pouvez délirer, inventer des règles avec les enfants et le dynamiser. Si vous êtes motivés, ils vous suivront et s'éclateront avec vous.
  15. laballe
    D'abord une démonstration pour vous donner envie!!

    Ensuite, des idées pour la fabrication: 1, 2 et 3

    Le truc pour y arriver à chaque fois, sur un bilboquet normal.

    Vous pouvez organiser des tournois ou celui qui mettra 5 fois la boule le plus vite possible ou celui qui la mettra dedans le plus de fois sur dix essais etc... Ils ont aussi beaucoup d'imagination pour trouver des règles de jeu simples. Surtout, ne restez pas avec la simple idée que l'enfant construit son jouet et l'emmènera, tout simplement chez lui. Alors profitez-en et amusez-vous!!!
  16. laballe
    Salut à tous,

    Ce soir, un thème ou plutôt un met que j'affectionne particulièrement le chocolat. Il y a beaucoup de choses à dire dessus et à travailler avec les enfants outre le fait de le manger. Premières infos, son histoire et sa fabrication:

    LE CHOCOLAT

    Récemment, des traces de cacao ont été retrouvées dans des poteries de la civilisation Maya, datant de 600 ans avant Jésus-Christ ! Denrée rare comme l'or et monnaie d'échange, nourriture des dieux puis plaisir secret réservé aux grands rois d'Europe... autant dire que l'histoire du chocolat ne date pas d'hier !

    Avant le chocolat, il y a d'abord le cacao. Ou plutôt l'arbre dont les fruits donnent le cacao, un arbre de quatre à huit mètres de haut qui poussait depuis des millénaires dans les forêts vierges de l'Amérique Centrale, bien avant que les Européens n'arrivent.

    Les Mayas, premiers occupants du pays, appelaient cet arbre Cacahuaquchtl, ce qui signifiait familièrement "cacaoyer", mais aussi "l'Arbre". En ces temps-là, les Mayas vénéraient des dieux qui, comme tous les dieux du monde, ne se nourrissaient pas comme le commun des mortels. Dans l'Olympe grecque par exemple, on devait l'immortalité à l'ambroisie ; au Mexique et au Guatemala, on devait cet état à la décoction des amandes de l'Arbre dont l'entretien relevait des soins de Quetzacoatl, l'extraordinaire Serpent à plumes, dieu jardinier du Paradis. Et si on n'a vraiment jamais su la recette de l'ambroisie, la préparation du tchacahoua, comme on disait en maya, ou tchocoatl en aztèque, était connue de tous, au moins par ouï-dire. Car les dieux, dans leur grande générosité, permettaient à l'élite de la nation, dans des circonstances bien codifiées, de consommer leur nourriture aux pouvoirs miraculeux.

    Le nom savant du Cacao est théobroma, ce qui signifie "nourriture des Dieux". Rien d'étonnant alors que le régal le plus apprécié du monde soit paré aujourd'hui encore de tant de vertus !

    A la conquête de l’Europe

    Après les dieux, le chocolat devint le compagnon irremplaçable des grands explorateurs. Christophe Colomb, Hernan Cortés et bien d'autres navigateurs du Nouveau Monde succombèrent à ses charmes puissants.

    Arrivé en Europe, les plus grands souverains en firent leur favori. Parmi ses plus fidèles admiratrices, Marie-Thérèse, infante d'Espagne et épouse de Louis XIV, dont on disait « Le Roi et le chocolat sont les deux seules passions de la reine ». Ainsi naquit le mythe Chocolat.

    Vendu par les apothicaires, il sera consommé comme boisson jusqu'à la révolution industrielle vers 1850. Déjà, on avait pris l'habitude de le consommer avec du lait et non plus avec de l'eau.
    Les pionniers du chocolat. A la veille de la Révolution industrielle, les années 1820 marquent les débuts du «chocolat pour tous».

    Des hommes passionnés se sont lancés dans l’aventure, et aujourd’hui encore certains de leurs noms font partie de notre quotidien. Grâce à leurs recherches et leur persévérance, le chocolat d’abord réservé à une élite est devenu accessible à tous dans le monde entier…

    Fondateur d’une dynastie chocolatière, Antoine-Brutus Menier (1795-1853), pharmacien spécialisé dans les poudres et farines, vend également du chocolat sous la forme de tablettes enveloppées d’un papier jaune.
    Son fils, Emile-Justin - qui sera surnommé le Baron Cacao - donne à la fabrique paternelle de Noisiel un essor considérable à partir de 1850. Vingt ans plus tard, il transforme l’usine - où travaillent 2000 employés - en une véritable cité où peuvent loger les «chocolats», surnom donné aux ouvriers. Dès le début du XXème siècle, la chaîne Menier est entièrement automatisée, permettant une fabrication en grand nombre des tablettes et produits de chocolat.

    La gourmandise se démocratise, elle n’est plus l’apanage d’une élite.

    Le hollandais Van Houten, fabricant de chocolat à Amsterdam, invente en 1828, la solubilisation du cacao. Un nouveau procédé permet d’extraire des fèves moulues la plus grande partie de leur matière grasse - le beurre de cacao. Après concassage et tamisage, la partie restante donne la poudre de cacao.
    Rodolphe Lindt (1855 -1909) dépose en 1879 un brevet qui marque la création du chocolat fondant. Au moyen d’une agitation mécanique, ce procédé «le conchage» permet de donner au chocolat toute sa finesse et son arôme.
    Henri Nestlé (1814-1890) fait irruption de façon involontaire dans l’histoire du chocolat. Grâce au procédé de condensation du lait qu’il invente, ce chimiste suisse permet l’invention en 1875 du chocolat au lait.
    L’Anglais, Charles Barry, développe en 1842 une activité de négoce à Londres. Une usine de transformation de cacao naîtra à Meulan au début du XXème siècle.
    Grossiste en denrées, le Suisse Charles Amédée Kohler découvre le chocolat aux noisettes en 1830.
    Très jeune, Philippe Suchard s’intéresse au chocolat. À douze ans, en se rendant chez l’apothicaire pour acheter une livre de chocolat pour sa mère malade, il découvre, choqué, qu’elle coûte trois jours du salaire d’un ouvrier. En 1825, il produit alors entre 25 et 30 kg de chocolat par jour avec un seul ouvrier. Le célèbre chocolat Suchard est né. Plus tard, en 1901, vient l’invention du fameux chocolat au lait dans son emballage mauve.
    En 1884, Albert Poulain invente à son tour un produit vendu 5 centimes qui va révolutionner les habitudes matinales de millions d’enfants, le «petit déjeuner à la crème vanillée» (ancêtre du fameux «pulvérisé» dans sa boîte orange).
    En 1912, Jean Neuhauscréé la praline et lance dans l’Europe entière ses généreuses tablettes, au goût puissant, ornées du célèbre éléphant barrissant.
    Après la première guerre mondiale, c’est à Charles Callebaut que revient l’ingénieuse idée de livrer aux chocolatiers, non plus du chocolat en pains, mais sous forme de liquide chaud transporté en camions-citernes. Procédé plus économique, qui s’est depuis généralisé.
    En 1923, Franck Mars invente et lance, à Chicago, la première barre chocolatée, créant ainsi une nouvelle façon de consommer le chocolat, plus pratique et plus ludique. Un nouveau marché était né : la confiserie de chocolat !

    Du cacaoyer à la tablette de chocolat

    Sélection, séchage, torréfaction, broyage des fèves, mélange de la pâte de cacao avec du sucre et du lait, tempérage, moulage. la fabrication du chocolat résulte d'un véritable savoir-faire qui compte pas moins de 15 étapes, entre la récolte de la cabosse, à l'autre bout du monde, et l'aliment gourmand, prêt à être dégusté par les petits et grands !

    1) Le cacaoyer est un arbre fragile qui pousse uniquement dans les pays tropicaux. D'environ 7 mètres de hauteur à maturité, il produit de 500 g à 2 kg de fèves par an. Il en existe 3 variétés.

    2) Les cabosses, qui contiennent les graines de cacao, poussent sur le tronc et sur les branches. Il leur faut 4 mois pour mûrir et acquérir une belle couleur jaune orangée. Chaque cacaoyer donne environ 40 cabosses par an.

    3) La cueillette des cabosses est une opération très délicate, qui consiste à cueillir le fruit sans l'endommager ni blesser l'arbre.

    4) L'écabossage : sitôt cueillies, on brise les cabosses avec un gourdin ou une machette pour en extraire les graines de cacao. A l'intérieur, les graines sont enrobées d'une pulpe blanche, appelée "mucilage". Chaque cabosse renferme de 20 à 50 graines. En moyenne, vingt cabosses fraîches donneront un kilo de fèves séchées.

    5) La fermentation est une étape déterminante pour obtenir un cacao de qualité.
    Plus elle est pratiquée rapidement, meilleur sera le cacao. L'opération a lieu sur les sites de production. Les graines sont disposées dans des bacs de fermentation. Le mucilage se liquéfie et s'écoule. Par suite de réactions chimiques naturelles, les précurseurs de couleurs et d'arômes se développent.

    6) Afin d'abaisser leur taux d'humidité de 60 à 8%, les graines sont séchées au soleil sur des claies ou dans des séchoirs artificiels. Cette opération, qui demande une à deux semaines, ne doit être ni trop lente (les graines moisiraient) ni trop rapide (elles deviendraient acides). Pendant toute la durée de l'opération, les hommes et surtout les femmes de la plantation, tournent et retournent les graines. Ils les trient à la main, les ratissent, éliminent les restes de pulpe et de débris. Dans certaines régions d'Amérique du Sud se pratique encore une coutume ancienne : la danse du cacao. Une danse sans musique, dans laquelle seuls les pieds remuent. Les graines prennent alors leur couleur brune caractéristique : elles s'appellent désormais Fèves de cacao. Nettoyées sommairement, elles sont prêtes pour l'exploitation ou l'exportation.

    7) Comme le café, le cacao ne développe son arôme et sa couleur qu'une fois torréfié.
    Les fèves sont grillées entre 120°C et 140°C. Le degré et le temps de torréfaction varient selon l'origine des fèves, le type de cacao ou de chocolat que l'on cherche à obtenir.

    8) Une fois broyés, les grains de cacao se transforment en une pâte liquide, appelée masse de cacao (ou encore pâte ou liqueur de cacao). C'est à partir de cette pâte que l'on pourra fabriquer le cacao en poudre, la barre de cacao ou bien le chocolat.

    9) La pâte de cacao, une fois broyée, est pressée dans des presses hydrauliques munies de toiles filtrantes métalliques pour obtenir deux produits, l'un liquide, le beurre de cacao, l'autre solide, en forme de galette, le tourteau. Le beurre de cacao sera désodorisé puis coulé dans des moules pour former des blocs après solidification, tandis que le tourteau, sera concassé puis broyé pour donner la poudre de cacao.

    10) La pâte de cacao sert aussi à fabriquer le chocolat, en y ajoutant du sucre, du beurre de cacao et éventuellement du lait. La masse de cacao de base est mélangée aux autres matières premières dans un pétrin. Le malaxage se poursuit jusqu'à obtention d'une pâte homogène. Celle-ci passe ensuite dans des broyeuses-affineuses, opération dite de broyage, afin de diminuer la granulométrie de la masse et réduire au maximum la taille des particules solides.

    11) Pour donner au chocolat tout son fondant, son onctuosité et son arôme, la pâte de chocolat doit ensuite subir le conchage, une agitation mécanique - de 12 à 48 heures - selon le résultat désiré.

    12) Le conchage terminé, le chocolat doit être tempéré pour passer de l'état liquide à l'état solide. On lui fait donc subir un cycle de température pour favoriser une cristallisation, fine et stable, du beurre de cacao. Le brillant du chocolat, sa stabilité et son «cassant» en dépendent.

    13) Le chocolat est alors coulé dans des moules ou nappé autour d'intérieurs à enrober (bonbons de chocolat, barres, rochers et billes...)

    14) Après stockage et emballage, il sera enfin prêt à être dégusté par les gourmands et gourmets du monde entier !

  17. laballe
    Je continue sur le chocolat, sujet inépuisable....

    Analyse chimique

    Sa magie tient à son double pouvoir réconfortant, explique Patrick Mac Léod, neurobiologiste. En effet, « il est à la fois doux et agréable au palais, grâce au sucre et aux arômes vanillés qu’il peut contenir, et rassasiant du fait de sa consistance riche et onctueuse. Cet heureux mariage glucido-lipidique, propre au chocolat, active le système de récompense cérébrale induisant le plaisir et nous libère instantanément de l’anxiété ».

    Le chocolat a donc des vertus apaisantes et agit comme un antidépresseur.
    Parmi les quelques 800 molécules chimiques qui le composent, la phényléthylamine
    est un transmetteur nerveux qui procure la sensation de plaisir et d’anti-déprime. La
    caféine et la théobromine, fortement psychostimulantes, provoquent un sentiment de vigilence accrue et de bien-être. Elles sont diffusées, cependant, en si petites quantités qu’il est impossible d’en mesurer les effets au cours d’une consommation normale. Chocolat et plaisir sont donc intimement liés…

    Le chocolat dans le monde

    En Europe du Nord, le chocolat est davantage considéré comme un aliment énergétique que comme une confiserie. Pour les Scandinaves, le chocolat est un aliment de base, une nourriture quotidienne et familière qui ne présente pas spécialement un caractère de fête. A Copenhague, Stockholm, Reykjavik, on boit et on mange du chocolat du matin au soir, et à longueur d'année. C'est un art de vivre et de survivre, puisque, très énergétique, le chocolat est l'aliment idéal pour vaincre les grands froids.

    Les Anglais ne mangent presque pas de tablettes, alors qu'ils raffolent de spécialités de fantaisie, essentiellement à base de caramel et de menthe enrobées d'un chocolat au lait bien spécifique, qu'ils dégustent souvent avec le café. Les magnifiques chocolats proposés à la Cour Royale font beaucoup d'émules, et les chocolats présentés dans d'inimitables et typiques boîtes anglaises sont un véritable cadeau.

    Aux États-Unis, les goûts sont à l'image du melting-pot des traditions culinaires. C'est un chocolat granuleux et fort qui rencontre la plus grande adhésion des consommateurs. Fidèles à leur caractère de grands enfants, ils offrent volontiers, des chocolats "gags" en forme d'Empire State Building, de guitares, d'épis de maïs ou de masques à l'effigie des stars du moment !

    Les Espagnols se passionnent plutôt pour le chocolat à boire et les pâtes à tartiner.

    Les Italiens boudent la tablette et lui préfèrent les “cioccolatini”, petits bonbons de chocolat originaux vendus au détail. Ils ont une relation plus charnelle avec le chocolat et lui accordent des vertus érotiques. Pour eux, chocolat rime avec passion et sensualité... La crème "Gianduja" en bocal de verre (lingot garni d’une pâte fondante), les fameux ”Napolitains” (petits carrés de chocolat offerts avec le café), ou encore les célèbres "Nus" (c'est leur nom !) sont des chocolats d'une extrême sophistication.

    Les Belges et les Hollandais ne jurent que par les chocolats fourrés très crémeux, de texture épaisse, enrichis de crème et de beurre, souvent à base de fondants. Sur cette "terre chocolatière" toutes les occasions sont bonnes pour manger du chocolat.

    En Allemagne du Nord, on apprécie un chocolat épais, onctueux et très sucré. Le chocolat est consommé régulièrement dans la journée, dilué dans du lait, tartiné sur du pain, ou encore croqué sous forme de barre.

    Les Suisses, mondialement connus pour leurs tablettes de chocolat au lait, affectionnent une saveur douce, crémeuse, avec une note à la fois amère et sucrée. Les variétés de chocolat suisse sont infinies et très raffinées, tels les chocolats au cognac, les tablettes parfumées, les délicieuses "Griottes" au Kirsch ou les spécialités "zoologiques" qui représentent des animaux si beaux que c'est presque un crime de les manger !

    Les Australiens, aiment les chocolats au gingembre, bien poivrés !

    Et à Tokyo, le chocolat a ses gourous-gourmets qui ne manquent pas d'audace. Des "artistes" exhibent fièrement leurs oeuvres en chocolat - souvent des sculptures -, avant de les offrir en dégustation. Un grand magasin a même réalisé la Vénus de Milo en chocolat blanc !

    Qui sont les amateurs de chocolat ?

    Hommes ou femmes, jeunes ou moins jeunes, quel que soit le milieu socio-professionnel, tout le monde dit oui au chocolat !

    En France, plus d’une personne sur deux en mange plusieurs fois par semaine, voire tous les jours. Cependant, certains en consomment plus fréquemment que d'autres : plus l'on est jeune, plus on mange du chocolat fréquemment (ainsi, 87% des 18-24 ans, 71% des 25-34 ans, 63% des 35-49 ans, 60% des 50-64 ans et 57% des 65 ans et plus sont des consommateurs réguliers).

    Le saviez-vous ?

    40 % des Français mangent du chocolat tous les jours ou presque*.

    30 % des français avouent avoir une relation de nature passionnée avec ce doux aliment**.

    3 français sur 4 admettent avec franchise qu'ils dégustent du chocolat avant tout pour se faire plaisir*


    * Enquête Sofres réalisée en janvier 2003.
    ** Enquête Sofres réalisée en février 2003.

    Sur ce, je vous laisse car je vais déguster une tablette de chocolat au lait fourré au citron meringué!!!
  18. laballe
    EXCEPTIONNEL, je viens de trouver la recette de Casimir pour ceux qui connaissent!!!! Ils me semblent indispensable de la diffuser!!! bon ap

    Gloubi boulga

    Ingrédients pour 10 personnes

    Préparation : 30 mn

    Confiture de fraise : 200 g
    Bananes : 6
    Chocolat noir : 150 g
    Moutarde de Dijon : 2 c à soupe
    Saucisse de Toulouse : 1
    Sel et poivre du moulin : pincée


    1 Préparez les ingrédients

    Ecrasez les bananes mûres à point et râpez le chocolat. Faites tiédir la saucisse, sans la cuire, et détaillez-la en tronçons.

    2 Touillez

    Dans un grand saladier, mélangez la confiture de fraises, la purée de banane, le chocolat, la moutarde ainsi que la saucisse. Rectifiez l'assaisonnement, selon votre goût. En décoration, vous pouvez éventuellement ajouter quelques anchois ou un peu de crème chantilly.

    3 Servez

    Dégustez aussitôt.
  19. laballe
    Après la semaine du goût, je pense qu'il est important de savoir comment fonctionne celui-ci en étudiant la langue (infos prises du site tête à modeler):

    Le goût est celui des 5 sens qui nous permet de percevoir les saveurs des aliments que nous mangeons.
    Jusqu’à il y a peu les scientifiques distinguaient 4 saveurs de base : le sucré, le salé, l’amer et l’acide, mais depuis peu une cinquième saveur a été identifiée « l’umami ». Ce mot japonais signifie délicieux. L’umami est en fait le glutamate de sodium souvent ajouté aux aliments pour en rehausser le goût qui n'appartient à aucune des 4 familles précédentes.

    Les 5 saveurs de base se combinent pour former des saveurs complexes.

    Le goût est un sens au même titre que les 4 autres (vue, odorat, toucher, ouie) mais il est directement associé à un second : l’odorat. Bien que les deux sens soit totalement distincts, l’odorat renforce le goût. Lorsque nous mangeons l’odeur des aliments remontent vers le nez par le fond de la gorge, renforçant ainsi leur goût. La meilleure preuve est de se boucher le nez en mangeant ou de manger en étant enrhumé : tous les aliments semblent avoir le même goût.
    En fait, avant de goûter avec la bouche, la vue et l'odorat entrent en jeu pour préparer nos papilles et notre cerveau à analyser ce que nous allons goûter !

    La langue, acteur essentiel du goût
    Sans la langue point de goût ! La langue est un muscle très mobile recouvert de papilles gustatives qui sont nos capteurs de goût.
    Nous disposons de 3 sortes de papilles :
    Les papilles caliciformes, les papilles fongiformese et les papilles filiformes

    A la naissance nous possédons environ 10 000 papilles mais à l’âge adulte nous n’en avons plus que 5 000 à 8000. Les papilles gustatives se renouvellent durant toute notre vie, elles ont une durée de vie de 8 à 10 de jours.
    Les papilles ont toutes des emplacements bien spécifiques sur la langue.

    L'apprentissage des saveurs

    Imbibées de salive, les saveurs se concentrent et activent les papilles. Les récepteurs chimiques des papilles analysent les saveurs et transmettent les informations au cerveau.
    Avec l’expérience le cerveau mémorise les informations liées aux saveurs et aux aliments, ainsi que toutes nos réactions et sensation : plaisir et déplaisir. Dès que nous mangeons le cerveau analyse les informations qu’il reçoit des papilles en fonction de notre expérience. Le goût s’affine avec l’habitude et l’expérience, il est donc nécessaire de l’entraîner.

    L’apprentissage du goût se fait tout au long la vie !!
    A chaque saveur correspond une zone d’identification sur la langue comme le montre le schéma. Les travaux actuels sur la cinquième saveur ne nous permettent pas encore de visualiser la zone de la langue permettant de l’identifier.

    Le sucré et le salé sont détectés par l’extrémité de la langue.
    L’amer est détecté à l’arrière de langue.
    L’acide est détecté sur les côtés.

    Goûts et dégoûts

    Au-delà du sens il y a nos goûts et nos dégoûts, nous n'avons pas tous les mêmes. Pourquoi certains aiment-ils les tomates alors que d'autres ne les aiment que cuits et qu'enfin les derniers ne les aiment pas du tout ? C'est une question complexe où se mélangent l'inné et l'acquis. Deux enfants élevés dans une même famille et de la même manière auront chacun leurs préférences mais se retrouverons pour dire que le "Cassoulet" de leur mère est le meilleur du monde !

    Au stade actuel de nos connaissances on sait que le foetus et le nourrisson ont une attirance particulière pour le sucré et une répulsion pour l'amer et l'acide, alors pourquoi certains jeunes enfants aiment-ils sucer les citrons et refuse-t-ils les sucreries ?

    Notamment par ce que goût est aussi une affaire culture et affective. Culturelle car les goûts varient selon les pays, les continents mais aussi les familles et les histoires familiales. Affective car nos premières découvertes gustatives sont le plus souvent liées à un environnement émotionnel fort positif ou négatif. Le bébé et le jeune enfant sont particulièrement réceptifs aux messages "non dits" des adultes et particulièrement de leur mère. Il suffit que la mère propose à son bébé un aliment qu'elle n'aime pas pour que celui-ci ne l'aime pas non plus, simplement par-ce qu'il a décodé de son langage non verbal "je t'en donne par ce qu'il le faut, mais je ne l'aime pas".

    Et enfin par ce que l'inné n'est pas irrémédiable. Tout au long de la vie, le bébé, l'enfant, l'adolescent puis l'adulte va se construire une "personnalité gustative". Tout au long de la vie nous découvrons d'autres goûts d'autres saveurs que nous apprenons à aimer. Nos goûts et nos dégoûts peuvent être profondément modifiés par notre entourage et nos groupes d'appartenance.

    La naissance du goût chez l'enfant

    Un goût inné de l'embryon pour le sucré
    Dès 4 mois l’embryon est sensible au goût sucré. Dès la naissance l’attirance pour le sucré se s’accentue alors que l’aversion pour l’amer reste très forte. Les études ont montré que la saveur sucrée déclenche des mouvements de succion. Le sucré est la première saveur appréciée par le nourrisson. La bouche est pour le bébé un outil privilégié de découverte, qu'il va bien entendu exercer dans le domaine de l'alimentation. Une saveur sucrée provoque une réaction de bien-être chez le bébé, alors que les liquides amers sont recrachés. Ce réflexe est un geste de défense inné, les poisons sont généralement amers. Les liquides acides provoquent toutes sortes de mimiques sur le visage du bébé : plissement du nez, plissement des yeux, pincement des lèvres ... Enfin le bébé analyse et tente de classer et d'identifier ce nouveau goût. Outre les expériences de découverte réalisées avec des liquides, la diversification des goûts commence vers l’âge de 7 mois, un à un de nouveaux aliments peuvent être introduits pour faire découvrir de nouvelles saveurs à l’enfant.

    Dès 2 ans l'enfant tente d'affirmer ses propres goûts

    Vers 2/3 ans les goûts personnels de l’enfant s’affirment participant à l’élaboration de la personnalité de l’enfant.
    Des périodes de découverte alternent avec des périodes de « repliement » alimentaire. Certains aliments sont systématiquement refusés tandis que d’autres pourraient être consommés tous les jours de la semaine !
    L'important est de varier les plats présentés à la table familiale et de demander à l'enfant de les goûter au minimum pour dire s'il aime ou s'il n'aime pas. Ce rituel est important pour permettre au cerveau de stocker les informations gustatives.

    7 ans l'âge des grandes découvertes !

    Heureusement vers 7 ans tout s’arrange, l’enfant s’ouvre à la découverte et aux nouveaux goûts. Il devient plus facile d'obtenir de l'enfant qu'il goûte systématiquement tous les aliments présentés sur la table. Et oh miracle il lui arrive souvent de découvrir que les carottes détestées sont finalement bonnes !

    A l’adolescence, il subit une nouvelle perturbation, les évolutions gustatives se poursuivent tout au long de la vie.
  20. laballe
    Merci Esther pour tes explications, aujourd'hui, j'aborde un jeu qui peut être mis en place, le jeu des pourquoi et comment?

    Pourquoi les oignons font pleurer ? (Vu sur Dis pourquoi papa?)

    Au niveau des paupières, des canaux relient les yeux à des glandes lacrymales. Ces glandes produisent une substance évitant l’assèchement de la cornée tout en permettant l’élimination de corps étrangers ou de substances, aidée par le battement des paupières. Dans le coin inférieur des yeux se trouvent d’autres canaux permettant l’évacuation de ces larmes et débouchant au niveau du nez. Normalement, la production de larmes et leurs éliminations s’équilibrent. Lorsque l’on pleure, la production de larmes est supérieure à la capacité d’élimination. Ainsi, ça déborde.

    Les cellules de l’oignon (du nom latin Allium cepa) renferment une huile soufrée qui, en se mélangeant avec l’eau et l’air, produit du sulfate d’allyle, composé relativement agressif : les yeux piquent.

    Lorsque l’on coupe un oignon, ses cellules sont abîmées et libèrent le sulfate d’allyle qui se mélange avec l’eau des larmes de la surface de la cornée. Le composé produit étant agressif pour l’œil, le cerveau commande une surproduction de larmes pour permettre l’élimination de l’étranger. Ainsi, on pleure !

    Conseils pour éviter les larmes :
    Se placer le plus loin possible de l’oignon lorsqu’on le coupe
    Épluchez et coupez l’oignon sous un filet d’eau, sous une hotte aspirante ou dans un sac en plastique
    Refroidir l’oignon au réfrigérateur pendant une heure avant de le couper

    Pourquoi boire ou conduire, il faut choisir ?

    Pour cette question, je ne peux que mettre en ligne ce document, distribué il y a quelques temps, aux péages des autoroutes :

    Document extrait de "Alcool et la conduite, mesurer et prévenir les risques", édité par le "Ministère de l'Equipement, des Transports, du Logement, du Tourisme et de la Mer" (www.securiteroutiere.gouv.fr)

    Ne vous laissez pas surprendre :

    Savez-vous qu'il y a autant d'alcool dans un verre de bière, un verre de vin et un verre de whisky-soda ?

    un verre de Vin (10 cl à 120°)= un verre de Bière (25 cl à 5°) =Whisky-soda (3 cl à 40° + soda)=Pastis (2 cl à 45° + eau)=Planteur (2 cl à 50° + jus)=Cognac (3 cl à 40°)

    En moyenne, chaque verre consommé fait monter le taux d'alcoolémie de 0.2 à 0.25 grammes par litre de sang. Ces chiffres peuvent être sensiblement supérieurs chez la femme, les jeunes, les personnes âgées et les individus minces. Par ailleurs, certains paramètres comme l'état de santé, le degré de fatigue, une alimentation déséquilibrée, le tabagisme ou le stress contribuent à augmenter le taux pour une consommation identique.
    Contrairement aux idées reçues, ni le café salé, ni une cuillerée d'huile, ni de grands verres d'eau, ni aucune autre recette ne permet d'éliminer l'alcool plus rapidement.

    Les effets de l'alcool sur le conducteur :

    L'alcool agit directement sur le cerveau, même à faible dose. Les premières perturbations sont constatées à partir de 0.3 grammes par litre de sang, mais se généralisent à partir de 0.5 grammes par litre:

    L'alcool rétrécit le champ visuel, la perception latérale des objets est donc altérée: Danger lors d'une intersection, en agglomération ...

    La perception du relief, de la profondeur et des distances est modifiée: Danger en cas de dépassement

    Le temps de réaction visuelle augmente. Chez un conducteur sobre, la durée moyenne de réaction est évaluée à une seconde. S'il présente une alcoolémie même légèrement positive, elle atteint au moins une seconde et demie.
    A titre d'exemple : un véhicule roulant à 90 km/h parcourt 25 mètres en une seconde, 37 mètres en une seconde et demie. Ces 12 mètres peuvent sauver une vie:Danger en cas de freinage d'urgence.

    L'alcool augmente la sensibilité à l'éblouissement: Conduite dangereuse de nuit.

    L'alcool diminue la vigilance ainsi que la résistance à la fatigue. En outre, la coordination des mouvements est perturbée: Danger permanent dans toutes les situations de conduite.

    L'effet désinhibiteur de l'alcool amène le conducteur à sous-évaluer les risques de transgresser les interdits: Vitesse excessive, négligence du port de la ceinture de sécurité ou du casque ...

    Le taux maximal d'alcoolémie autorisé au volant est de 0.5 grammes par litre de sang. Les éthylomètres et éthylotests délivrent cette mesure par litre d'air expiré : le seuil légal à ne pas atteindre est fixé à 0.25 mg par litre d'air expiré (depuis juillet 2003)

    Comment a été inventé le Coca-Cola ?

    Le 8 mai 1886, le docteur John Smith Pemberton, pharmacien de son métier et vivant à Atlanta en Géorgie, inventa une nouvelle boisson gazeuse en voulant trouver un sirop original et désaltérant.

    Après de nombreux essais, il mit au point un mélange comprenant de l'extrait de noix de kola, du sucre, de la caféine, des feuilles de coca décocaïnées et un composé d'extraits végétaux. Le Coca-Cola était né. C'est son comptable, Franck M. Robinson, qui baptisa la recette "Coca-Cola" et dessina le logo. Mais ce n'était encore que du sirop
    La boisson fut mise en vente grâce au "soda-fountain" de la Jacob's Pharmacy (qui vendait du café, du thé, des confiseries et servait également de pharmacie) à 5 cents le verre dès 1886. Les serveurs, pour la servir, diluaient le sirop avec de l'eau glacée. L'un de ces serveurs eut l'idée d'utiliser de l'eau gazeuse ce qui augmenta la vente du produit. Le vrai Coca-Cola était né.

    La recette actuelle est inconnue et secrète et conservée dans un coffre fort de la « Trust Company of Georgia » à Atlanta.


  21. laballe
    Tes poupées en papier

    "Joue avec Halle Berry, Jackie Kennedy, Tomb Raider, Tom Cruise ... oui oui ! Ou plus précisément, avec leur poupée en papier. Découpe-les et habille-les selon tes envies! Choisis ta poupée parmi une vingtaine de rubriques (en anglais, cela peut être traduit avec google) : international, lord of ring, TV stars, etc. Il ne te reste qu'à l'imprimer et la découper pour pouvoir t'amuser avec."

    Différents plans à découper et à assembler

    Les voitures

    Divers animaux, villes, architecture, science etc...

    Magasins, manèges et balançoires

    Divers

    Origami (art du pliage du papier), Kirigami (art du découpage du papier) et pop up (livre animé) Ce site est vraiment d'une richesse ahurissante. Des plans pour vos réalisations et des vidéos. Si avec çà, vous restez au coloriage avec les enfants...

    Animarom sur son site, vous donne aussi pas mal de liens très intéressants. Merci

    Fabriquer du papier recyclé

    Les perles

    Le Quilling ou paperolles

    Ce qui suit est juste un exemple de ce que l'on peut faire avec du papier. C'est juste pour le plaisir des yeux.

    Allen et Patty Eckman
    (trouvé sur zigonet)
  22. laballe
    Le Parc de Wesserling: j'y suis allée avec 24 enfants de 3 à 6 ans. Nous avons visité le musée avec un guide, il nous a raconté l'histoire et ensuite, les enfants ont testé de la peinture faîte avec des fleurs sur des carrés de tissus. Ils les ont emmenés chez eux.

    Les intervenants étaient compétents, patients et ont très bien expliqué aux enfants de cet âge.

    Nous avons été pris en charge dès notre arrivée avec un endroit à l'ombre et protégé (c'était en juillet) pour pique-niquer et se reposer.

    Nous avons pu visiter seuls les jardins, un véritable régal.

    Seul bémol, les toilettes, un seul pour les 24 à l'extérieur. Je ne vous raconte pas les allers-retours!!!

    S'il avait plut, une salle était réservée.

    Pour conclure, un endroit très accueillant à visiter absolument.
  23. laballe
    Salut à tous,

    Voici la recette du slim, c'est excellent à faire et les enfants adorent (trouvé sur dis pourquoi papa?)

    Ingrédients :

    1 bol
    de l'eau du robinet
    un paquet de fécule de maïs
    colorant alimentaire de votre choix

    Préparation :

    Verser un peu d'eau dans le bol
    Y mettre quelques gouttes de colorant alimentaire

    Introduire, tout en remuant à l'aide d'une cuillère, la fécule de maïs jusqu'à obtenir une pâte
    C'est prêt

    Que se passe t-il ?

    - Plongez les doigts dans le mélange : il s'enfonce sans problème.
    - Donnez un coup sur la surface avec le poing : Il ne s'enfonce pas.
    - Placez le mélange dans le creux de la main, celui ci s'écoule entre les doigts.

    Pourquoi ?

    La fécule de maïs est constitué de tout petits grains insolubles dans l'eau. Dans votre mélange, les grains sont très rapprochés et se retrouvent en suspension dans l'eau. Lorsque vous y plongez vos doigts, les grains se réorganisent tout en étant repoussés (liquide). C'est également ce qui explique l'écoulement lent entre vos doigts. Par contre, lorsque vous tapez sur la surface, les grains se pressent les uns sur les autres et forment un bloc (solide).

    Cette propriété de la fécule est utilisé en cuisine en tant qu'épaississant alimentaire (sauce, coulis, etc)
  24. laballe
    Avant de vous raconter la suite, je dois vous préciser que cette journée-là, des enfants d'un autre centre étaient invités. ça a été le meilleur moment d'improvisation dans l'équipe et de vécu pour les enfants. Il faut savoir que nous mettons au point l'histoire, nous nous déguisons et ensuite, nous improvisons totalement les dialogues. Cette fois-ci, nous étions plusieurs à intervenir et beaucoup de rigolades et d'humour sont ressortis. Preuve de la complicité de l'équipe... Tout a été filmé et c'est très intéressant de revoir l'ensemble car quand on joue un personnage, on loupe beaucoup de choses autour...

    C'est une île qui a l'air déserte; quelques morceaux de bois, des cailloux, des feuilles, rien de bien spécial. Sur la droite, se trouve un bosquet, d'ailleurs, on entend des voix qui s'élèvent derrière. Tous les enfants se précipitent pour voir ce qu'il se passe. 3 personnes se tiennent debout autour d'un autel. L'un est bizarre et les 2 autres sont à genoux à le supplier. Lorsque les enfants arrivent, le bizarre disparait.

    Je vais souvent faire des pauses dans cette histoire car il y a beaucoup de choses à dire, ça vaut le coup!!!
    Description des personnages: le bizarre, c'est le dieu Honda, il est habillé d'une toge blanche et porte un masque vert pas très beau mais pas effrayant non plus.
    Les 2 autres sont Kawa et Saki ,si si on a osé et vous n'êtes pas au bout de vos surprises Je vous jure que l'on s'est trop marré en écrivant cette histoire!!!!
    Saki, c'est le frère et Kawa, la sœur, imaginez des hawaïens, l'un en bleu et l'autre en rose, avec des lunettes de soleil, un maillot de bain sur la tête et le visage jaune?!!! ben oui, avec des prénoms pareils, vous avez bien deviné qu'il s'agissait d'asiatiques!!!

    Les enfants s'assoient et demandent tout de suite s'ils se trouvent sur l'île aux trésors. Nos 2 personnages répondent vaguement, ils ont surtout besoin d'un coup de main. Pour faire simple, le dieu Honda exige le sacrifice d'un jeune de la tribu chaque mois, afin d'apaiser sa colère. Si ce n'est pas fait, un déluge s'abattra sur l'île. Et ce mois-ci, c'est le tour de Saki. Lorsque les enfants sont arrivés, Honda était sur le point de l'emmener mais avec le nombre, il a préféré battre en retraite. Les enfants veulent bien les aider à le vaincre mais comment faire?
    Simple, il suffit de consulter le livre des ombres. C'est Mitsu qui le détient et elle habite à Bitchi (jeu de mots )
    Je ne peux pas m'empêcher de faire une pause pour vous expliquer comment nous avons amener ce jeu de mots. Nous étions déguisés (en asiatiques avec l'accent) pris dans l'histoire, essayant de se faire rire l'un l'autre car j'ai eu la chance d'avoir un animateur excellent!!! Les enfants se trouvaient devant nous à nous observer et à essayer de comprendre tout ce qui se passait. Il lance le jeu de mots dont nous sommes très fiers et là, le bide, personne ne réagit sauf nous. Nous venions de parler du dieu Honda, de Kawa et Saki, on était déjà mort de rire (sans nous départir de nos rôles ) et là, on enchaîne avec Mitsu qui habite à Bitchi. Ben je peux vous assurer que les enfants étaient tellement pris dans l'histoire qu'ils n'ont pas faits particulièrement attention aux jeux de mots
    C'est pas grave car nous,on a bien rigolé!!!

    Les enfants se déplacent donc à Bitchi mais ceci est une autre histoire...