Quentin

Bonjour Emilie, Tu peux t'adresser à la DDJS de ton département qui pourra te fournir une liste des organisateurs de séjours de vacances. Renseigne-toi aussi auprès de mairies importantes de ta région, qui ont parfois un secteur vacances, et d'un point info-jeunesse, où tu trouveras de nombreuses offres d'emploi.

En classe de découvertes journalisme, Leïla rédige une brève à partir d'une dépêche d'agence de presse. Elle a écrit que "La glace fond rapidement dans l'Océan Article". Je la relis et lui signale une erreur dans cette phrase. Elle revient deux minutes plus tard, toute fière, et me présente sa feuille : "La glace fond rapidement dans l'Océan Artistique" :clown:

Rien dans le message de Gaëtan ne permet d'affirmer que son souhait était de "passer des vacances" ou de "gagner de l'argent"... Se décider à passer le BAFA un an avant d'avoir l'âge requis me semble au contraire un signe de maturité, d'autant que Gaëtan cumule pendant ce temps une expérience avec des enfants en encadrement sportif. Ne généralisons pas... Certains sont aptes à encadrer des enfants dès 17 ans, d'autres ne le seront toujours pas à 25 ans et plus. C'est aux formateurs et aux directeurs de séjours de déterminer, au cours du cursus BAFA, si les stagiaires sont aptes ou pas. Reculer l'âge d'entrée au BAFA ne résoudrait rien. Plus encore, cela risquerait d'aggraver la pénurie d'anims.

C'est un conseil entendu partout, et qui me scandalise car tout cela se fait au mépris de l'enfant. Mettons-nous dans la situation du gamin qui a du mal à se dépatouiller avec la douche, et qui appelle à l'aide un anim en qui il a confiance et devant qui ça ne le dérange pas de se montrer nu. L'anim en question devrait, selon ce conseil, appeler un collègue en renfort pour prouver qu'il n'y a eu ni attouchement ni viol. Soit deux adultes devant un gamin nu... Euh, j'en connais qui ne vivraient pas bien la situation. Ca peut être beaucoup plus troublant dans ce cas de figure... L'affinité n'a rien à voir avec le fait de se montrer nu. Tu peux avoir de vrais liens affectifs avec quelqu'un et ne pas souhaiter te montrer nu devant lui. Il faut distinguer amitié et pudeur.

Salut, Attention à ne pas alerter Jeunesse et Sports sur un cas comme celui-ci, qui est loin de justifier une interdiction d'animer auprès d'enfants. Ce problème doit d'abord se régler en interne : je ne sais pas de quelle structure tu dépends (municipale ? privée ?), mais tes responsables doivent être informés et une réunion doit avoir lieu. S'il n'y a jamais de réunion régulière dans ton travail, c'est logique qu'il y ait du ressenti de part et d'autres : lorsqu'on supprime les temps de discussion dans une équipe, on en vient à se parler de moins en moins... Et ce ne sont pas des discussions entre deux portes qui vont pouvoir dénouer le problème.

Salut PetitLu, Je n'ai encore jamais eu d'enfant qui est venu avec un PAI digne de ce nom... A la place, il y a eu une prise de contact par téléphone avec les parents, mais pas avec les éducateurs (il s'agissait d'enfants à handicap moteur). Le PAI a pourtant l'avantage de formaliser les renseignements demandés, et permet ainsi de ne rien oublier. Je ne pense pas qu'un PAI fige l'enfant. Les renseignements permettent à l'équipe de bien préparer l'accueil d'un enfant handicapé ou souffrant de troubles de santé, en réfléchissant notamment à l'aménagement des locaux, aux possibilités et aux limites d'intégration dans un groupe, à la gestion de la vie quotidienne. C'est essentiel d'anticiper l'accueil de l'enfant. Les renseignements permettent surtout de mener un travail en continuité avec ce qui est réalisé à l'année par les parents, les médecins et les éducateurs. Les anims n'ayant souvent pas de formation préalable liée au handicap et aux pathologies, ce sont les renseignements fournis qui vont servir de base à leur travail. Cela n'empêche pas, bien sûr, de sortir par moments du cadre formel du PAI : le temps des vacances est aussi un temps d'expérience pendant lequel un enfant peut se montrer sous un jour différent.

Merci, j'y vois plus clair ! Je réfléchis aussi à la mise en place de PAI dans certains cas, car il me semble important d'avoir un avis médical fondé, en plus des explications des parents. C'est notamment pratique lorsqu'un infirmier doit venir au centre prodiguer des soins quotidiens : les explications du médecin sont souvent plus concises que celles des parents.

Salut Joëlle, Désolé, le BAFA, c'est à partir de 17 ans ! Lorsque tu auras l'âge requis, tu pourras demander à l'antenne départementale de Jeunesse et Sports de te fournir la liste des organismes habilités à dispenser la formation BAFA.

Je suis partant ! Tu as déjà un thème en tête ?

Salum Clemclecle, Au CRIJ, tu verras surtout des offres d'emploi exigeant le BAFA : tu ne risques donc pas de trouver par ce biais. Mieux vaut contacter des centres de loisirs ou des centres de vacances, en leur expliquant ta démarche. Insiste un peu pour passer le barrage de la secrétaire au téléphone et demande à parler directement au directeur (demander ses coordonnées s'il ne travaille pas sur place). Près d'Obernai, dans un bled tellement perdu que je n'ose pas en dire le nom :lol:

Salut, Qu'est-ce que cette formation apporte de plus que l'AFAS, qui existe depuis plus longtemps que la FFAS (qui d'ailleurs n'est citée nulle part ailleurs que sur ton site) ? Pourquoi ne pas avoir repris le programme de l'AFAS ? Autre question, plus perso... J'ai vu que ta formation traitait aussi de l'accueil d'enfants atteints de troubles de la santé : est-ce que tu recommandes l'établissement d'un PAI, comme dans l'Education Nationale, ou cela te semble superflu sur une aussi courte durée que les colos ?

Bien d'accord avec toi ! Et comment on fait dans ce cas là ? Je ne me vois pas rester debout jusqu'à 4h pour aller coucher les derniers, je tiens aussi à mon sommeil OK, les colos sont aussi un temps de partage entre adultes, et les soirées après la réunion sont toujours agréables. Mais ça me fait mal de voir des anims usés en fin de centre, qui même s'ils auront globalement bien géré avec les enfants, quittent la colo lessivés...

Salut Clemclecle, ... et bienvenue dans le monde de l'animation ! Le statut d'aide-animateur n'existe plus légalement. Il te reste la possibilité de participer au séjour en tant que bénévole : tu seras ainsi couverte en cas d'accident. Dans ce cas, veille néanmoins à ce que le directeur du séjour définisse bien des "missions" qui soient en rapport avec ton boulot, qui doit rester une première découverte de l'animation : tu dois par exemple refuser de te retrouver seule en charge d'un groupe. En revanche, tu peux te proposer pour aider à la préparation d'un grand jeu, donner quelques coups de main en vie quotidienne (c'est-à-dire tous les temps comme le lever, la toilette, les repas, etc)...

Je vais dans le même sens qu'Esther. Le seul intérêt que peut avoir un appro sur un thème qui est déjà une passion, c'est d'apprendre des techniques d'animation pour mettre en place l'activité avec des enfants. Car mine de rien, certains anims ont du mal à transmettre leur passion, à mettre en place des ateliers, à définir des paliers de progression, etc. Si tout cela n'a pas de secrets pour toi, je te conseille de t'orienter vers un autre appro. Sinon, ce thème est relativement courant, de grands organismes de formation le proposent (pas forcément dans ton département, mais peut-être dans des régions limitrophes).

Salut, Isostar, c'est pas pendant un effort musculaire plutôt ? Testé le Guronsan après une nuit passée à l'hôpital auprès d'un enfant : j'en ai pas vu l'efficacité... C'est peut-être efficace sur de la fatigue ponctuelle, mais ça ne vaut pas le coup sur la durée. Je suis sceptique sur toutes ces boissons énergisantes, ainsi que sur les compléments alimentaires en général (Jack n'en a pas parlé mais c'est à mettre dans le lot). Une bonne hygiène de vie en colo, avec des horaires de coucher raisonnables, permet souvent de tenir le coup sans avoir recours à ces produits. Evidemment, la fatigue est quand même au rendez-vous... Je la combats avec d'énormes verres de jus d'orange pour faire le plein de vitamine C. Dans ce domaine, j'ai un faible pour le Tropicana Pure Premium, même à 2,30 euros le litre Je reste cependant persuadé qu'il y a beaucoup d'autres leviers - plus naturels- qui permettent de diminuer la fatigue. Eviter les repas sur le pouce, s'accorder de vraies pauses (15 minutes semblent un minimum) ou encore déléguer certaines choses sont des moyens parmi d'autres de ne pas se tuer à la tâche. Cela dit, ça reste intéressant de voir qui a eu recours à ces boissons en CVL... à quel moment ? dans quelles circonstances ? de manière régulière ou occasionnelle ?

Je pense que tu fais une grosse méprise depuis le début de ce fil : personne n'a parlé de mythomanie, donc de faits complètement inventés, mais simplement d'exagération. Celle-ci n'est pas forcément volontaire : dans une histoire difficile, comme celle que tu nous racontes, il arrive qu'on occulte certaines parties de l'historie ou qu'on en grossisse certains détails de manière involontaire. Dès que ça touche à l'émotion, on perd tous en rationnalité. Je ne suis pas du genre à envoyer les gens balader. Mais je ne peux aider un anim que s'il est clair dans son explication des faits, ce qui n'est pas le cas pour le moment. Une meilleure chronologie des faits, des précisions sur les personnes impliquées (leur nombre, leur fonction, etc), des détails sur tes conditions d'hébergement, le rôle de "l'homme furieux" (animateur aussi ?) seraient bienvenus. Cela peut d'ailleurs t'aider à y voir plus clair. Ce n'est pas lié à Internet, Jean. Mon premier réflexe, lorsque j'entends une histoire comme celle-ci, c'est de demander l'avis d'une autre personne impliquée. Nous le faisons tous avec les enfants qui viennent se plaindre de tel ou tel autre gamin. Ce n'est pas dire que tout est faux, c'est remettre en question l'avis de chacun afin d'approcher la vérité. Je le répète : l'émotion peut amener une déformation complète de la réalité. Entre l'intention de l'auteur d'un geste et l'interprétation qu'en fait son récepteur, il y a parfois un énorme fossé. Un énoncé rationnel des faits en présence des deux parties permet souvent d'y voir plus clair. Oui, mais c'est souvent plus facile de s'exprimer dans la "vie réelle" (donc à l'oral), plutôt que par écrit.

Allhya, Deux précisions au sujet à la modération des forums : - Olivier et moi modérons les forums, mais cela n'empêche que nous conservons un droit d'expression personnelle qui n'engage pas le site. Autrement dit, quand j'écrit sous le nom de "Quentin", il ne faut pas y lire "AnimNet". - les messages supprimés par les modérateurs ne le sont que pour les raisons précisées dans la charte des forums. Le retrait des messages pour convenance personnelle n'en fait pas partie : dès lors que tu participes à un forum, il me semble évident que tu assumes tes propos ! Ensuite, je ne méprise pas ton vécu, je m'interroge sur les mots employés. Des termes comme "harceler" et "haïr", que tu as utilisés dans ton premier message, ont une signification bien précise. Sont-ils à la mesure de ce que tu as vécu ? C'est là que j'y voyais de l'exagération possible. Pour terminer, je ne vois pas ce que ton métier, ton bagage culturel et ton DEA de psycho viennent faire dans cette histoire... Tu aurais le droit à plus d'égards que les autres sur ce forum ?

Ce soir, 19h sur L'Equipe TV : La Petite Mêlée (1/2) Pour ceux qui n'ont pas L'Equipe TV, possibilité de pré-commander le DVD (et d'en savoir plus sur le documentaire) sur http://www.lapetitemelee.com Bon Noël à tous !

Salut, J'ai testé ce système de permis à points à mes débuts, mais j'ai rapidement arrêté. Outre les raisons citées par Aurore, on peut aussi ajouter le risque pour un enfant de se retrouver quasiment sans points et donc de se sentir en marge. Et j'ai trouvé que ça exacerbait les tensions entre enfants : la compétition fait rage pour avoir le max de points ! Peut-être m'y suis-je mal pris, c'est pourquoi ça serait intéressant que tu développes ce système Léonie. Je teste un nouveau système qui consiste à mêler réunion de groupe et débat autour des règles de vie, partant du principe que les règles peuvent évoluer régulièrement (surtout dans le cadre d'un séjour court en colo) et que les enfants intègrent mieux des règles quand ils les construisent eux-mêmes, après en avoir vu l'intérêt. Concrètement, en fin de journée, les enfants bénéficient d'un temps libre classique : téléphone, jeux libres, lecture... et coin "La colo de demain". Il s'agit d'un coin où les enfants peuvent : - s'inscrire aux activités du lendemain (donc tout le monde y passe) - faire des propositions pour améliorer la colo (activités, organisation...) - débattre des règles de vie à instaurer ou modifier Ce n'est pas un temps obligatoire : ceux qui veulent faire des propositions viennent, les autres n'y sont pas obligés. Les règles demandées par les enfants touchent essentiellement au respect de l'intimité : on frappe avant d'entrer, les garçons ne doivent pas croiser les filles quand elles sont en serviette après la douche, on ne doit pas parler trop longtemps le soir quand il y en a qui sont fatigués, etc. Parallèlement, il y a des règles qui peuvent être retirées : ne pas courir dans le couloir peut passer à la trappe, par exemple. J'attends de le tester à nouveau de façon plus longue et avec d'autres enfants pour évaluer son efficacité. Bon réveillon !

Si nous sommes plusieurs à avoir mis en doute tes propos, c'est aussi parce que dès le début de ton premier message, tu révélais avoir menti à ton équipe : Difficile dans ces conditions d'accorder un quelconque crédit à tes propos, qui, je le maintiens, paraissent exagérés.

Salut, Ce coût de 5 euros ne concerne que les activités ou englobe aussi l'hébergement ? Car si ça englobe les deux, c'est mission impossible ! Je te conseille de te rapprocher des campings à la ferme ou des fermes-auberges, qui te permettront d'allier tes activités de découverte de la nature avec le cadre de l'hébergement. Autre piste : les bases de loisirs, qui proposent un hébergement et des activités comme la pêche et le VTT. Le mieux est de prendre les Pages Jaunes et de partir... à la pêche ! Sinon, j'ai une piste, mais c'est en Bretagne (en TGV, ça reste dans le créneau demandé des "2 à 3h de Paris"... mais pas en car !)

Mais les documents officiels dont tu parles, ce ne serait pas possible de les récupérer d'un coup à l'inscription des enfants à la rentrée scolaire ? Parce que je ne vois pas trop l'intérêt d'un carnet de liaison à l'année... Y'a tellement de choses à transmettre au fil des semaines ?

Très bonne idée que le lancement de ce sujet Je réfléchis aussi à l'achat de jeux en vue de prochaines colos, les testant pour le moment en périscolaire ou en classe découverte. Quelques critères de choix me semblent importants à respecter : - la durée du jeu : en périscolaire comme en colo, les enfants n'ont pas toujours le temps de se lancer dans de longues parties. Des jeux d'une durée de 10 à 30 minutes me semblent suffisants. L'avantage, c'est que ça permet un plus grand turn-over des jeux. De plus, des enfants qui assistent aux parties n'ont pas longtemps à attendre avant de jouer à leur tour. - le nombre de pièces : il y a des jeux très agréables à jouer, mais qui sont bon à mettre de côté dès qu'il manque une seule pièce ! Or, on sait bien qu'en colo, les pertes arrivent rapidement. Des jeux avec un faible nombre de pièces, ça me semble donc important. - la solidité : les jeux en bois, y'a rien de mieux ! Toutes les pièces d'un jeu doivent pouvoir résister à un usage intensif et quelque peu sauvage - la simplicité des règles : ce critère n'est pas le plus important, tout dépend du fonctionnement de la salle de jeux. J'ai vu des centres où il y avait pas mal de jeux mais qui ne servaient pas, parce que les enfants ignoraient les règles, trop complexes... et qu'il n'y avait pas d'anims avec eux. Soit on décide que la ludothèque est en accès libre, sans forcément un anim dedans, et dans ce cas, des jeux à règles simples sont pratiques ; soit un anim y est toujours présent pour initier les enfants, et vous pouvez vous permettre d'introduire des jeux assez complexes. Testé et approuvé avec des enfants : Pitchcar : des pions, un circuit, que la course commence ! C'est avec une pichenette index+pouce qu'on fait avancer les pions, et ça demande un certain doigté. Faut doser la vitesse, jouer avec les glissières de sécurité, savoir dégager ses concurrents tout en avançant... L'intérêt pour les enfants, c'est qu'ils peuvent construire leur propre circuit, il y a plein d'éléments agençables (lignes droites, virages, tremplins, tunnels, etc) pour peu qu'on possède le jeu de base et ses 3 extensions. Et puis, un truc qui me fait plaisir : les filles aussi sont accro ! Villa Paletti : rien que les pièces du jeu sont belles (vive le bois) ! Le but : construire une villa de plus en plus haute en retirant les colonnes des étages inférieurs. Ca ressemble au bon vieux badaboum de notre enfance, sauf qu'il y a un peu de stratégie en plus de l'habileté. C'est amusant de voir que les enfants sont à la fois très excités ("C'est quand que ça va tomber ?") et en même temps très calmes ("Arrête, quand tu parles fort, tu fais trembler les pièces !"). Bon, par contre, ça fait vraiment du bruit quand ça s'effondre...

Ben un calendrier de l'avent alors, et non entamé SVP ! Me contacter en MP pour mon adresse postale ^_^

Ton histoire est très confuse, et j'ai du mal à déceler le vrai du faux... car elle semble exagérée. Je me trompe ?